18 avril 2014

Un plan de 1914 de la villa Julia, boulevard Jean d'Amou à Bayonne

Démarrage de la recherche à la Mairie de Bayonne , service de l'urbanisme, que je remercie vivement (entrée rue Bernède).
Consultation du registre "constructions nouvelles et additions de constructions sollicitées à Bayonne depuis 1909 classées par quartiers "
  • Quartier Grand Bayonne
  • Quartier Petit Bayonne
  • Quartier Saint-Esprit































































Premier résultat, page droite,avant dernier enregistrement:
Numéro d'ordre :73 
Nom du propriétaire faisant construire:Julia Henri
Emplacement et nature de la construction ou des travaux:Boulevard Jean d'Amou réfection d'une maison d'habitation
N° d'ordre au registre annuel des constructions nouvelles et N° du dossier:74 projet éxécuté
Année de la demande d'autorisation :1912

En poursuivant les investigations sur  les années suivantes,la villa Julia réapparait en 1914.


La consultation des dossiers permis de construire de Bayonne 
entre 1909 et 1964,s'effectue uniquement  aux AD 64 Pôle de Bayonne et du Pays Basque 39 avenue Duvergier de Hauranne 64100 Bayonne.


S'agissant des travaux de la villa Julia en 1912,le classeur des permis de construire de Bayonne de 1909 à 1964 aux AD 64 indique les éléments suivants:
Année: 1912
Permis de construire: N° 74
Nom du propriétaire:M.Julia Henri
Nom de la rue ou quartier:Boulevard Jean d'Amou
En rouge,la cote du document d'archive.

Dans la  mince chemise relative aux travaux réalisés en 1914 sur cette villa Julia ,quelques feuillets sans grand intérêt et le plan ci-dessous.




Permis de construire de Bayonne  au Pôle de Bayonne et du Pays Basque AD 64

Vous avez la possibilité d'obtenir  photocopie(s) en couleur des plans (participation aux frais) ou d'effectuer des prises de vues photographiques dans les conditions de l'article 6 du règlement des salles de recherches du Service départemental des archives AD 64 

Article du blog consacré à la villa Julia  :Le centre de séjour surveillé de Bayonne "Villa Julia,boulevard Jean d'Amou". 


12 avril 2014

Rechercher la transcription d'un acte de décès d'un poilu

L'acte de décès d'un poilu, est en principe transcrit sur les registres d'état civil de sa dernière commune de résidence.Parfois plusieurs années après le décès.
La liste des registres des décès du début du XXe siècle consultables au Pôle de Bayonne et du Pays Basque n'est pas disponible sur le site internet des AD 64.
 


Pôle de Bayonne et du Pays Basque

 

 Liste des registres des décès consultables aux AD 64 

Pôle de Bayonne et du Pays Basque


Ahetze Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 9/8
Aincille  Décès 1901-1936 Cote 4E 11/9
Ainharp  Naissances Mariages Décès 1850-1920 Cote 4E 12/5
Ainhice-Mongelos  Naissances Mariages Décès 1870-1920 Cote 4E 13/7
Ainhoa Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 14/8
Aldudes (les)  Naissances Mariages Décès 1870-1920 Cote 4E 16/7
Anglet Décès 1901-1932 Cote 4E 24/19
Anhaux Naissances Mariages Décès 1860-1920 Cote 4E 26/8
Arbonne Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 35/8
Arcangues  Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 38/9
Aroue  Naissances Mariages Décès 1893-1932 Cote 4E  49/8
Ascain  Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 65/9
Ascarat Naissances Mariages Décès 1870-1920 Cote 4E 66/8
Aussurucq Naissances Mariages Décès 1860-1920 Cote 4E 81/5
Ayherre  Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 86/10


Barcus  Décès 1890-1920 Cote 4E 93/13
Bassussary Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 99/8


Bayonne décès 1914 Cote 4E 102/219
Bayonne décès 1915 Cote 4E 102/220
Bayonne décès 1916 Cote 4E 102/221
Bayonne décès 1917 Cote 4E 102/222
Bayonne décès 1918 Cote 4E 102/223
Bayonne décès 1919 Cote 4E 102/224
Bayonne décès 1920 Cote 4E 102/225
Bayonne décès 1921 Cote 4E 102/226
Bayonne décès 1922 Cote 4E 102/227
Bayonne décès 1923 Cote 4E 102/228
Bayonne décès 1924 Cote 4E 102/229
Bayonne décès 1925 Cote 4E 102/230 (1 registre de décès par année jusqu'en 1933)


Bergouey-Viellenave Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 113/8


Biarritz décès 1914 Cote 4E122/62
Biarritz décès 1915 Cote 4E122/63
Biarritz décès 1916 Cote 4E122/64
Biarritz décès 1917 Cote 4E122/65
Biarritz décès 1918 Cote 4E122/66
Biarritz décès 1919 Cote 4E122/67
Biarritz décès 1920 Cote 4E122/68
Biarritz décès 1921 Cote 4E122/69
Biarritz décès 1922 Cote 4E122/70
Biarritz décès 1923 Cote 4E122/71
Biarritz décès 1924 Cote 4E122/72
Biarritz décès 1925 Cote 4E122/73 (1 registre de décès par année jusqu'en 1933)

Bidache Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 123/14
Bidart  Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 125/9
Biriatou Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 130/4
Bonloc  Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 134/4
Boucau  Décès 1901-1932 Cote 4E 140/7
Briscous Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 147/7



Cambo-les-Bains Décès 1901-1932 Cote 4E 160/6
Came Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 161/13
Charritte-de-Bas  Naissances Mariages Décès 1870-1920 Cote 4E 187/2
Cheraute Mariages Décès 1880-1920 Cote 4E 188/7
Ciboure  Décès 1901-1932 Cote 4E 189/11


Espelette  Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 213/8
Espes -Undurein  Mariages Décès 1909-1925 Cote 4E 214/4
Esterencuby  Naissances Mariages Décès 1870-1920 Cote 4E 218/2
Etcharry Naissances Mariages Décès 1870-1920 Cote 4E 221/3
Etchebar Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 222/3

Gamarthe  Naissances Mariages Décès 1850-1920 Cote 4E 229/2
Garindein Naissances Mariages Décès 1860-1920 Cote 4E 231/2
Guéthary Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 249/4

Hasparren  Décès 1901-1932 Cote 4E 256/20
Hendaye Décès 1901-1932 Cote 4E 260/13
Hopital-Saint-Blaise Naissances Mariages Décès 1840-1920 Cote 4E 264/5


Ilharre Naissances Mariages Décès 1870-1920 Cote 4E 272/5
Irissary Mariages Décès 1880-1920 Cote 4E 273/10
Irouleguy  Naissances Mariages Décès 1860-1920 Cote 4E 274/5
Isturits Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 277/8
Itxassou Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 279/10


Jatxou Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 282/8
Jaxu  Naissances Mariages Décès 1860-1920 Cote 4E 283/5


La Bastide-Clairence Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 289/17 
Labets-Biscay  Décès 1880-1936 Cote 4E 294/6
Laguinge -Restoue Naissances Mariages Décès 1860-1920 Cote 4E 303/5
Lahonce  Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 304/9
Larressore  Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 317/8
Lasse  Décès 1870-1919 Cote 4E 322/6
Lecumberry  Naissances Mariages Décès 1870-1920 Cote 4E 327/5
Licq-Atherey  Mariages Décès 1880-1925 Cote 4E 342/6
Louhossoa Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 350/7
Luxe-Sumberraute Naissances Mariages Décès 1881-1920 Cote 4E 362/6


Macaye  Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 364/8
Mauleon  Décès 1897-1919 Cote 4E 364/8
Meharin  Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 375/9
Mendionde  Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 377/11
Moncayolle-Larrory-Mendibieu  Mariages Décès 1880-1925 Cote 4E 391/9
Mouguerre  Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 407/12


Ordiap  Décès 1880-1925 Cote 4E 424/8
Osserain- Rivareyte Naissances Mariages Décès 1870-1920 Cote 4E 435/5
Ossès Mariages Décès 1901-1922 Cote 4E 436/13


Sainte-Engrâce  Mariages Décès 1909-1925 Cote 4E 475/6
Saint-Esteben Naissances  Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 476/8
Saint-Etienne-de-Baïgorry Mariages Décès 1890-1923 Cote 4E 477/9
Saint -Jean-de-Luz   Décès 1901-1916 Cote 4E 483/23
Saint -Jean-de-Luz   Décès 1916-1932 Cote 4E 483/24
Saint-Jean-Pied-de-Port Décès 1890-1923 Cote 4E 485/9
Saint-Martin-d'Arberoue  Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 489/8
Saint-Palais Décès 1901-1924 Cote 4E 493/9
Saint-Pée-sur-Nivelle   Décès 1901-1932 Cote 4E 495/14
Saint-Pierre d'Irube Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 496/9
Sames Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 502/10
Sare Décès 1901-1932 Cote 4E 504/13
Souraïde Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 527/8



Trois-Villes Mariages Décès 1840-1925 Cote 4E 537/6



Urcuit  Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 540/8
Urepel Mariage décès  Cote 4E 543/5
Urrugne  Décès 1881-1920 Cote 4E 54516
Urt  Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 546/10
Ustaritz Décès  1901-1932 Cote 4E 547/12



Viellenave-de-Bidache  Naissances Décès 1901-1932 Cote 4E 554/7
Villefranque  Naissances Mariages Décès 1901-1932 Cote 4E 558/8
Viodos-Abense-de-Bas Naissances Décès 1870-1920 Cote 4E 559/5



Anciens élèves de St-Louis de Gonzague Bayonne décédés en 1914

Au 42 rue d'Espagne à Bayonne, le lycée professionnel privé Le Guichot.a succédé à l'institution Saint-Louis-de-Gonzague.








Dans le couloir conduisant vers la cour intérieure, un panneau en pierre, sur lequel sont gravés les noms des anciens élèves  de l'institution St-Louis de Gonzague de Bayonne, morts pour la France en 1914-1918 et 1939-1945.




























Un grade et un nom gravés dans la pierre, pour partir à la recherche de  renseignements complémentaires sur ces anciens élèves de St-Louis de Gonzague de Bayonne.La collecte des données s'est essentiellement appuyée sur  :
Le site Mémoire des Hommes Morts pour la France de la Première Guerre Mondiale
Les Registre de recrutement militaire -le64.fr
Le livre ,incontournable, de Joël Rocafort,voir l'article du blog Soldats et civils de la Côte Basque durant la Grande Guerre

L'accent est mis sur les dates de jugement et ou de transcription des décès.En effet,l'acte de décès d'un poilu,est en principe transcrit sur les registres d'état civil de sa dernière commune de résidence.Parfois,plusieurs années après le décès.


Diharce Germain Auguste Marie ,frère de Diharce Ferdinand Eugène Marie Joseph
Caporal
Né le 10 aout 1893 à Bayonne
Registre de recrutement militaire -64 1R854
Numéro matricule du recrutement:1870
Mémoire des Hommes .Ministère de la Défense
Mort pour la France 26 aout 1914
Jugement rendu le 9 juillet 1918 par le Tribunal de Bayonne
Jugement transcrit le 30 juillet 1918 à Bayonne
Complément Joël Rocafort Avant oubli -Atlantica-Page 61

Bourgoin Louis Emile Raymond
Sergent
Né le 17 février 1891 à Mérida Vénézuela
Registre de recrutement militaire -64 1R834
Numéro matricule du recrutement:1513
Mémoire des Hommes .Ministère de la Défense
Mort pour la France 23 aout 1914
Jugement rendu le 12 décembre 1921 par le Tribunal de Bayonne
Jugement transcrit le 3 mars 1922 à Bayonne
Complément Joël Rocafort Avant oubli -Atlantica-Page 61  
domicilié à Bayonne , rue Vieille Boucherie

Lapègue Mathieu marie Joseph
Caporal
Né le 20 septembre 1892 à Bayonne
Registre de recrutement militaire -64 1R844
Numéro matricule du recrutement:1769
Mémoire des Hommes .Ministère de la Défense
Mort pour la France 23 aout 1914
Transcrit le 16  mars 1915 à Bayonne
Complément Joël Rocafort Avant oubli -Atlantica-Page 61  
domicilié à Bayonne, rue de Luc

Diharce Ferdinand Eugène Marie Joseph ,frère de Diharce Germain Auguste Marie
Sous-lieutenant
Né le 31 octobre 1891 à Bayonne
Registre de recrutement militaire -64 1R833
Numéro matricule du recrutement:1414
Mémoire des Hommes .Ministère de la Défense
Mort pour la France 29 aout 1914
Jugement rendu le 7 octobre 1920 par le Tribunal de Bayonne
Jugement transcrit le 30 octobre 1920 à Bayonne
Complément Joël Rocafort Avant oubli -Atlantica-Page 63 
domicilié à Bayonne , rue Argenterie
Chevalier de la Légion d'Honneur J.O du 16.11.1919

de Lostalot-Bachoué Félix Gaston,à ne pas confondre avec son frère Félix Louis Gaston Édouard Georges né à Salies-de-Béarn
Soldat 
Né le 22avril 1894 à Biarritz e-Archives AD 64 Acte de naissance Biarritz
Mémoire des Hommes .Ministère de la Défense
Mort pour la France 27 aout 1914
Transcrit le 21 février 1916 à Biarritz
Complément Joël Rocafort Avant oubli -Atlantica-Page 62

Laharrague Michel François Pierre
Soldat
Né le 3 décembre 1891 à Bayonne
Registre de recrutement militaire - 64 1R833
Numéro matricule du recrutement:1414
Mémoire des Hommes .Ministère de la Défense
Mort pour la France 3 septembre 1914
Jugement rendu le 21 janvier 1924 par le Tribunal de Bayonne
Jugement transcrit le 5 février 1924 à Bayonne
Complément Joël Rocafort Avant oubli -Atlantica-Page 64 
domicilié à Bayonne ,villa Pia (Beyris)

Tandonnet Jean Marie Joseph Robert Eugène
Soldat
Né le 13 février 1892 à Bordeaux (Gironde)
Registre de recrutement militaire - 64 1R843
Numéro matricule du recrutement:1457
Mémoire des Hommes .Ministère de la Défense
Mort pour la France 3 septembre 1914
Jugement rendu le 27 mai 1920 par le Tribunal de Bayonne
Jugement transcrit le 14 juin 1920 à Bayonne
Complément Joël Rocafort Avant oubli -Atlantica-Page 64 
domicilié à Bayonne

Detanger Emile Joseph
Capitaine 
Né le 5 novembre 1880 à Izieux (Loire)
Registre de recrutement militaire - 64 1R712
Numéro matricule du recrutement:1457
Mémoire des Hommes .Ministère de la Défense
Mort pour la France 5 septembre 1914
Transcrit le 16 novembre 1914 à Sainte-Foy-les-Lyon

Casedevant Marie Joseph François Régis
Capitaine
Né le 13 octobre 1886 à Castelnau (Landes)
Registre de recrutement militaire - 64 1R778
Numéro matricule du recrutement:661
Mémoire des Hommes .Ministère de la Défense
Mort pour la France 7 septembre 1914
Transcrit le 25 novembre 1914 à Bergerac (Dordogne)
Complément Joël Rocafort Avant oubli -Atlantica-Page 65 
domicilié à Bayonne , rue de la Monnaie

Dantin Lucien
Capitaine
Né le 3 aout 1870 à Hendaye
Registre de recrutement militaire - 64 1R592
Numéro matricule du recrutement:1017
Mémoire des Hommes .Ministère de la Défense
Mort pour la France 21 septembre 1914
Transcrit le 10 septembre 1915 à Hendaye 
Complément Joël Rocafort Avant oubli -Atlantica-Page 73 


d'Elbée Marie Camille Louis Gonzague
Soldat (La plaque de St-Louis de Gonzague indique Ss-lieut )
Né le 18 mai 1894 à Tours (Indre-et-Loire)
Registre de recrutement militaire - 1R864
Numéro matricule du recrutement:1972
Mémoire des Hommes .Ministère de la Défense
Mort pour la France15septembre 1914
Jugement rendu le 7 octobre 1920 par le Tribunal de Bayonne
Jugement transcrit le 26 octobre 920 à Guéthary
Complément Joël Rocafort Avant oubli -Atlantica-Page 68 
domicilié à Guéthary,maison Zaspi-Anaïak

Vergez Jean - En attente de critère (s) de recherches  discriminant (s)
Caporal

Lamblin Joseph - En attente de critère (s) de recherches discriminant (s)
Caporal

Plaque St-Louis de Gonzague :Ss-Lt Paris de Mondonville JAD 40-1912-1126 W 8 -Vue 333/513 De Mondonville Joseph Emile N° de Matricule 588
AD 95 Saint-Brice-sous-Foret 3E148 29 - (1883-1894)Vue 278/347 Acte de naissance N°56
Joseph Emile Martin Léon Marie de Mondonville né le 9 décembre 1892 à Saint-Brice-sous-Forêt
fils de Louis Joseph Dominique Pâris de Mondonville capitaine au 7e hussards et de Antoinette Françoise Gabrielle Guy
Mémoire des Hommes .Ministère de la Défense
Mort pour la France 23 septembre 1914
Transcrit le 15 juin 1916 à Saint-Martin-de-Seignanx (Landes)

De Hiriart Jean Baptiste Gabriel Robert
Sergent (Caporal fourrier selon le site Mémoire des Hommes.Ministère de la défense)
Né le 28 avril 1878 à Bayonne (e-archives AD64 )  Acte de naissance avec mention d'un jugement rectificatif
Registre de recrutement militaire - 64 1R687 
Numéro matricule du recrutement:1723
Mémoire des Hommes .Ministère de la Défense
Mort pour la France 23 octobre 1914
Transcrit le 10 mai 1915 à Biarritz
Complément Joël Rocafort Avant oubli -Atlantica-Page 87 
domicilié à Bayonne,rue Thiers

Labeylie Ferdinand - En attente de critère (s) de recherches discriminant (s)
Soldat


Laxague Jean-Marie Antoine
Soldat
Né le 23 avril 1896 à BayonneRegistre de recrutement militaire - 64 1R882  
Numéro matricule du recrutement:1261
Mémoire des Hommes .Ministère de la Défense
Mort pour la France 19 décembre 1914
Jugement rendu le 18 décembre 1916 par le Tribunal de Bayonne
Transcrit le 18 janvier 1917 à Bayonne
Complément Joël Rocafort Avant oubli -Atlantica-Page 87 
domicilié à Bayonne, rue de la Salie

A suivre .... Anciens élèves de St-Louis de Gonzague Bayonne décédés de 1915 à 1918... 

 

10 avril 2014

Le livre "Le vieux Saint-Esprit" réedité

Le vieux Saint-Esprit
Souvenirs d'un Bayonnais
présentés par "Peillic"
Avant-propos Pierre HOURMAT Président de la Société des Sciences Lettres et Arts de Bayonne 
287 pages,
Réédité par l'IMPRIMERIE du LABOURD Bayonne
En vente au prix de 15€:
au bar 2 boulevard Jean d'Amou .Spiritou :spiritou@free.fr
à la librairie Elkar de Bayonne







































Egalement disponible à la bibliothèque des Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Pôle de Bayonne et du Pays Basque -Bibliothèque historique sous la cote BIB UMB 784

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Table des matières


Vers le passé
La place Saint-Esprit
Le pourtour de la place
La rue Sainte-Catherine
Le boulevard Jean-d'Amou



















La rue Bergeret
Le boulevard de l'abattoir
Le pont de fer
Le moulin de Castera
L'inondation de 1879
Du nouvel abattoir au chemin de Boyer
Le chemin de Boyer
Les courses de taureaux
La rue de l'abattoir
La rue de l'Este
La rue de l'école
La rue du moulin
La rue du couvent
Le passage Sainte-Catherine
La rue du canal
Le boulevard Alsace-Lorraine
La rue de Belfort
Le quai Bergeret
La rue Maubec
La rue Doyenné
L'église de Saint-Esprit
La rue Hugues
La rue petite Graouillats
La place Graouillats
La rue Sainte-Ursule
La place Sainte-Ursule
La rue Neuve
Le quai de Lesseps
Le pont Saint-Esprit
Lou Bielh Sént-Esprit (chanson)



























Table des noms de lieux.Pages 257 à 264
Table des noms propres (autres que les noms de lieux) Pages 265 à 285
Table des gravures.Pages 286 à 287


La fabrication de l'espadrille

Extrait d'une plaquette réalisée par le Conseil Départemental de la Croix-Rouge Française des Basses-Pyrénées,avec le concours des cités Basco-Béarnaises,des personnalités,collectivités et industrie de notre département.
4e trimestre 1954.
Article signé Pierre Beguerie.(Texte intégral)

Savez-vous que cette fabrication particulière fortement implantée dans le département ,occupe directement plus de 3000 ouvriers et ouvrières en usine,autant de travailleurs à domicile ,et,indirectement permet à ses fournisseurs de matières premières d'employer,eux aussi,plus d'un millier d'hommes et de femmes du pays?
Beaucoup de nos compatriotes et à peu près tous les étrangers,voient dans l'industrie de l'espadrille au travers de ces estampes originales qui représentent des types caractéristiques de Basques assis à califourchon sur un banc rustique ,le poinçon à la main,une semelle de jute à peine ébauchée sur l'établi.
Il était d'ailleurs encore possible de contempler ce spectacle avant la guerre,dans quelques quartiers populeux d'Oloron et de Mauléon,et dans quelques villages reculés du Pays de la Soule , sur la Côte Basque,et même sur les quais de Bordeaux.
Cette fabrication artisanale est le vestige des travaux des espadrilleurs ou sandaliers du dix-huitième siècle et du début du dix-neuvième siècle.
D'où vient cette curieuse chaussure?
Certains la font remonter à une haute plus haute antiquité et l'apparentent aux cothurnes des Romains.
Ce qu'il y a de certain,c'est que l'espadrille était la chaussure préférée des montagnards des Pyrénées.
Très répandue en Espagne,elle était alors fabriquée entièrement à la main;les semelles tressées à la façon de nattes étroites étaient constituées soit par du chanvre,soit par du lin peigné à l'aide d'un instrument rustique pourvu de grosses dents.
Le dessus était avant la Révolution ,composé de lanières et de bandelettes venant entourer le mollet jusqu'au-dessous du genou.Environ après 1800,l'empeigne de l'espadrille adopta sa forme actuelle et fut fabriquée en tissu de lin par certains tissages à la main d'oeuvre d'artisans de réputation nationale (linge basque).
Pendant cette période et jusqu'en 1830,l'espadrille était presque inconnue en France;elle était fabriquée et consommée dans les Pyrénées Occidentales (Pays Basque,Béarn,Bigorre) et également dans les Pyrénées Orientales (Catalogne et Roussillon).
Vers 1850 ,l'espadrille commence a être connue et appréciée de tous.Des centres de fabrication se créent à Mauléon,Oloron,et à St-Laurent de Cerdans,dans les Pyrénées-Orientales.
Ce ne sont pas encore des industriels qui assurent la fabrication de la chaussure nationale basque qui est encore uniquement faite à la main.Ce sont des commerçants qui achètent le chanvre brut,le tissu,font exécuter les travaux à domicile chez les paysans,ramassent ensuite les espadrilles terminées et les expédient à leurs clients.
Le matériel pour ces commerçants consistait surtout en un solide camion traîné par les petits chevaux du pays.
En 1851,l'espadrille était vendue par un commerçant de Mauléon (M.Justin Béguerie) à 4.75la douzaine,franco Bayonne !!!
Après 1870,nous assistons à une transformation complète de cette industrie qui,pareille à celle de la chaussure,prend un essor formidable.Le jute des Indes et le coton d'Amérique sont adoptés,permettant une fabrication rationnelle et industrielle.
Vers 1880 quelques pionniers dont nous avons plaisir à rappeler les noms:Pascal Cherbero,Laplace,Louis Béguerie, Çarçabal, Bedat, Bellocq, entrevoyant l'avenir avec optimisme se lancent avec courage dans la réalisation d'usines importantes.
Oloron, Mauléon,pour ne citer que les centres importants,voient s'élever des constructions grandioses;des usines hydro-électriques naissent sur les rives du gave d' Oloron,du Saison,des milliers d'ouvriers sont employés sur place.
Mais cela ne suffit pas.Il faut encore de la main d'oeuvre pour activer une fabrication momentanément connue dans la France entière,dans ses colonies,en Angleterre et en Suisse.
Les industriels n'ont pas à chercher très loin,et dès que souffle le vent du Sud,avant l'apparition des premières neiges,dévalent des cols pyrénéens les Navarraises aux longues nattes,les Aragonais aux culottes courtes et aux chapeaux ronds.
Ils viennent tout joyeux passer l'hiver chez nous,pousser l'aiguille des monteuses ou le poinçon du chevalet;ils animent nos petites cités de leurs chants et de leurs danses.Quand vient le mois de mai ,ils repartent dans leurs hautes vallées espagnoles pour assurer la moisson;ils remontent nos sentiers un peu tristes,regardant souvent derrière eux,avec la nostalgie d'un métier et d'un pays attrayant.
Beaucoup ,d'ailleurs ,sont restés parmi nous,et les Morillon,les Lopez,les Garcia,sont nombreux et admirablement acclimatés du reste ,dans leur patrie d'adoption qui,devenus de bons français n'hésitèrent pas devant leur devoir en 1914,1939,1944.
Voici donc très brièvement comment naquit et se développa dans notre département la fabrication de l'espadrille.
A l'heure actuelle,l'activité de cette production est assurée par des Industriels puissamment outillés qui luttent contre les centres concurrents des Pyrénées Orientales et du Nord,et par des Artisans dont l'ingéniosité a su adapter aux gouts de la mode,l'espadrille de nos grands parents.
Répartis surtout le long de la Côte Basque,ils sont les fournisseurs attitrés de nos élégantes baigneuses.
Qu'ils soient industriels ou artisans,solidement attachés à leur langue et à leurs traditions,ils n'ont qu'un but,défendre une industrie que leurs pères ont créée,la voir progresser,et répandre en France ,aux Colonies,à l’Étranger,un produit de qualité,bien fabriqué,justement apprécié,faisant honneur à leur petite Patrie,le Pays Basque,le Béarn et Landes fraternellement unis.

Pierre BEGUERIE
Industriel,
Président de la Chambre Nationale des Fabricants d'Espadrilles.
Publicité 1954.Plaquette réalisée par le Conseil Départemental de la Croix-Rouge française des Basses-Pyrénées.





































 

L'Industrie de l'Espadrille

Jusqu'en 1880,il n'existait pratiquement pas d'industrie de l'espadrille.Cette fabrication s’exécutait entièrement à la main,mais dès que parurent les premières applications mécaniques de l'électricité,des machines à coudre,la fabrication prit un essor considérable pour atteindre son apogée vers 1910.
De 1914 à 1928,développement constant.Les usines se multiplient et sont devenues de véritables ruches bourdonnantes.A elles seules,les trois plus importantes assurent chacune la sortie de 13.000 paires par jour;nombreuses sont celles qui atteignent les 5 à 6000 paires quotidiennes sans compter les artisans cantonnés dans une fabrication spéciale.
Toutes les opérations sont mécaniques,les semelles sont moulées,cousues,par du matériel extrêmement ingénieux fabriqué dans le département.
Pour le montage et la couture,on établit du matériel de technique américaine Machines Consolidated,blake,petits-points.
Les tissus sont fabriqués à Oloron,Nay,Jurançon,Louvie-Juzon,dans des tissages spécialisés dans la petite laize de 10 à 18 cm.
Les fils à semelles sont livrés par quatre filatures qui traient le jute brut d'importations directe des Indes,acheminés par les ports de Bordeaux et de Bayonne.
La plus importante à Puyoo (Ets Saint-Frères),produit 6 à 7 tonnes par jour.Les trois autres (deux à Mauléon et une à Oloron) ,sortent chacune ,2 à 3 tonnes par jour.
De 1928 à 1935,crise très grave.Comme l'industrie française,les espadrilleurs voient leurs ventes fléchir considérablement,les marchés extérieurs se ferment ,les étés pluvieux ajoutent à la crise et causent un marasme grave.
Certains s'orientent vers la fabrication de la sandale à semelle de caoutchouc.Grâce à cette diversion,la crise est surmontée et de 1936 à 1939,nous assistons à une forte reprise de la vente de l'espadrille.
Je vous dirai encore que les sandaliers qui travaillent le caoutchouc sont aussi puissamment outillés pour la broyure,le malaxage,la vulcanisation.Ils utilisent les matières brutes telles que les feuilles fumées ou le caoutchouc synthétique G.R.S,américain,sans compter les déchets de pneus transformés en poudrette.
Sandales sur semelles caoutchouc,sabots et bottes moulées,viennent compléter heureusement la fabrication d'espadrilles.
La guerre et l'occupation vont suspendre les importations du jute des Indes et du coton d'Amérique.
Nos sandaliers ne se sont jamais avoués vaincus.Ils ont maintenu leur activité en adoptant les matières de remplacement.L'alfa,le sisal d'Afrique,et même le jonc des marais pour la semelle,la rayonne et la fibranne pour le dessus.
La libération a enfin permis de revoir et de réutiliser les matières habituelles:le jute et le coton,et malgré les à-coups dans l'approvisionnement,la fabrication s'est maintenue à un rythme extrêmement intéressant.
En 1948,pour la première fois depuis la guerre,la production a atteint et même dépassée les besoins de la consommation.
Sur les 24 millions de paires produites en France en 1948,on peut estimer que plus de 16 millions de paires ont été fabriquées dans les départements des Basses-Pyrénées et des Landes,dont les 41 industriels et 61 artisans se répartissent ainsi:
A la date du 1 er janvier 1948
Industriels Artisans
Mauléon et ses environs                                    20           15
Oloron                                                               3              5
Pau                                                                     2              5
Salies-de-Béarn                                                   2             "
Nay                                                                    1             2
Bruges                                                                1              "
Arette                                                                 1              "
Jasses,Montfort,Navarrenx,Araujuzon                2              4
Landes et Côte Basque                                     12             30
                                                                       ---            ---
                                                                        44            61

Pour terminer je me permets de signaler enfin l'excellent esprit social qui a toujours présidé à nos travaux.
Patrons et ouvriers oubliant les luttes stériles d'autrefois ,ont compris leur devoir respectif.Unis par leur travail,ils vivent dans nos petites cités ouvrières où leurs familles se connaissent et s'apprécient depuis des générations.Leurs plaisirs sont les mêmes,sportifs par excellence,ils pratiquent en commun les sports préférés du pays:Pelote basque,rugby,chasse,pêche,etc.
Grâce à l'activité de notre industrie,les espadrilles du Pays Basques vendues dans la France entière,exportées en Suisse,dans les Pays scandinaves,en Belgique,aux Etats-Unis,en Nouvelle-Zélande,en Australie,appréciées pour l'élégance de leur modèle,la vivacité des coloris,sont une publicité vivante pour nos plages,nos campagnes verdoyantes et les sites pittoresques de ce coin du Sud-Ouest qui est l'un des plus brillants joyaux de notre douce France.
Justin AGUER
Industriel,
Sécrétaire Général de la Chambre Nationale des Fabricants d'Espadrilles.
Publicité 1954.Plaquette réalisée par le Conseil Départemental de la Croix-Rouge française des Basses-Pyrénées.



L'industrie du caoutchouc à Mauléon

Extrait d'une plaquette réalisée par le Conseil Départemental de la Croix-Rouge Française des Basses-Pyrénées,avec le concours des cités Basco-Béarnaises,des personnalités,collectivités et industrie de notre département.
4e trimestre 1954.
Article signé B.Paritzky. (Texte intégral )


C'est en 1536 pour la première fois,semble -t-il qu'on ait parlé de caoutchouc dans un ouvrage publié à Madrid.
Toutefois,Tellier prétend que,dès 1525,le père d'Angliero a raconté qu'il avait vu au Mexique des Indiens jouer avec des balles élastiques.
En 1601,l'historien espagnol,Antonio de Herrera y Tordillas fait mention ,en parlant de la conquête du Mexique,de certains arbres qui donnent ,quand on les pique ,un lait se convertissant en gomme d'odeur très agréable que les indiens employaient pour confectionner de grossières chaussures.
C'est seulement en 1840 que Goodyear a découvert la vulcanisation du caoutchouc en mélangeant du soufre à la gomme.En 1843,un autre chercheur ,Hancook,perfectionnait la découverte de Goodyear.
Depuis,la question a été reprise par de nombreux savants et techniciens;les applications devenues multiples s'étendent de jour en jour et une de ces branches d'application a échoué à Mauléon sous forme de récupération de vieux caoutchoucs (agglomérés). Ensuite est née l'industrie actuelle utilisant un matériel moderne et perfectionné.
A l'heure actuelle,toutes les usines d'espadrilles vulcanisent leurs semelles caoutchouc dans leurs propres ateliers.
Les pionniers de l'espadrille à semelles caoutchouc:René Elissabide,G.Giraudier et B.Paritzky ont considérablement développé cette industrie à Mauléon.De nombreuses et importantes usines,qui se développent sans cesse,produisent actuellement des quantités considérables d'espadrilles.
Mauléon,capitale de la Soule,se maintient en tête de cette fabrication et sa renommée s'étend,non seulement en France,mais aussi dans les Colonies et à l'étranger.
B.PARITZKY
Membre actif de l'Association Française des Ingénieurs de l'industrie du Caoutchouc et des Industries connexes.
Publicité 1954.Plaquette réalisée par le Comité Départemental de la Croix-Rouge française des Basses-Pyrénées



























09 avril 2014

Passeports du XIXe siècle de la commune de Saint-Palais

Escos Pierre 93 ans, accompagné de Gracieuse Etchart, 
profession de tondeur de mulets et de chevaux
Fait à Saint-Palais,le 15 octobre 1884
Pôle de Bayonne et du Pays Basque AD 64- E DÉPÔT SAINT-PALAIS 2 I 2












































Escos Pierre
Profession de tondeur de chevaux et de mulets
Natif de Mendive département des Basses-Pyrénées
Demeurant à Saint-Palais
Agé de 87 ans
Accompagné de Gracieuse Menditeguy 31 aout 1877
Fait à St Palais,le vingt octobre 1878,
30 septembre 1879,
Gracieuse Etchart,28 septembre 1880,
26 aout 1881,
20 octobre 1882,
Gracieuse Etchart,15 octobre 1883,
Gracieuse Etchart,15 octobre 1884,
Gracieuse Etchart,19 décembre 1885


Etienne Gastellary
Passeport d'indigent
Nous Sous-Préfet de Bayonne
Invitons les Autorités civiles et militaires à laisser passer  librement de Bayonne département des Bses Pyrénées à St Palais département des Basses Pyrénées suivant l'itinéraire ci-après énoncé,
Etienne Gastellary
profession de forgeron
natif des Aldudes département des Bses Pyrénées
Âgé de 45 ans
Fait à Bayonne le 28 février 1868
Itinéraire obligé: Hasparren St-Palais

Verso
Le nommé Etienne Gastellary est arrivé à St Palais le 2 mars 1868.Le présent passeport lui a été retiré pour être déposé aux archives de la Mairie avec la notice individuelle suivant les prescriptions contenues dans la lettre de M.le Préfet en date du mars 1868.
St Palais le 5 mars 1868

Hortica Auguste
Artiste Lyrique
Natif de Sarthassoi (,) Belgique de Passage à St-Palais
Âgé de 25 ans
Fait à St-Palais le 28 décembre 1877

Miguet Jean-Pierre
Profession de Gymnasiaque
Natif de Lyon
Département du Rhône
De passage à Saint-Palais
Âgé de 21 ans
Passeport périmé le 1 er décembre 1877
Fait à St-Palais le 28 décembre 1877
Pôle de Bayonne et du Pays Basque AD 64- E DÉPÔT SAINT-PALAIS 2 I 2





































Claude Chevallier
Accompagné de sa femme Comminge Anna
Profession d'Artiste
Natif de Carourge (Suisse)
De passage à St-Palais
Âgé de 21 ans
Passeport périmé depuis le 10 aout 1877
Fait à St Palais le 28 décembre 1877

Uhart Marie
Nous Maire de la ville de Cadillac
Invitons les Autorités civiles et militaires à laisser passer et librement circuler de Cadillac département de la Gironde à Saint-Palais département des Basses-Pyrénées
Uhart Marie
Native de Ayherre département des Basses-Pyrénées demeurant à Cadillac
Âgée de 25 ans
Fait à Cadillac le 28 octobre 1878

Etcherrique Marie
Nous Maire de la ville de Cadillac
Invitons les Autorités civiles et militaires à laisser passer et librement circuler de Cadillac département de la Gironde à Saint-Palais département des Basses-Pyrénées
Etcherrique Marie
Profession de sandalière
Native de Méharin demeurant à Amendeuix
Âgée de 25 ans
Fait à Cadillac le 18 janvier 1881

Cambot Joseph
Profession de marchand colporteur
Natif de Pau
Allant à Nantes département de la Loire Inférieure
Âgé de 37 ans
Fait à St Palais le 20 février 1883



Archives consultables au Pôle de Bayonne et du Pays Basque sous la cote E DÉPÔT SAINT-PALAIS 2 I 2

Douaniers et registres de recrutement militaire des Basses-Pyrénées

Les archives départementales des Pyrénées-Atlantiques proposent en salle de lecture à Pau et à Bayonne un index papier des agents des douanes ayant cessé leur activité dans le département des Basses-Pyrénées.
En raison d'infestations de moisissures au sein du site des AD 64 de Pau,les dossiers de ces agents des douanes sont pour le moment inaccessibles.
Pour les douaniers nés entre 1878 et 1891, il reste la possibilité de consulter  en ligne sur le site des AD 64 la fiche matricule militaire  correspondante:64-Registres de recrutement militaire.