26 octobre 2019

Compléments et sources à "Ithorrots,Vichy....Buenos-Aires"

L'hebdomadaire Mediabask a publié le 17 octobre dernier, à la rubrique opinion-courrier des lecteurs, un texte qui a pour titre Ithorrots, Vichy… Buenos-Aires.
Il s'agit du résumé d'une enquête à laquelle j'ai participé .Au départ,une rumeur locale rapportait que pendant la Seconde Guerre mondiale,Bertrand Laurent d'Abbadie d'Ithorots, s'était engagé  dans la Milice française.Vrai ou faux,les recherches aux archives départementales des Pyrénées-Atlantiques d'un milicien sous le nom de d'Abbadie n'ont apporté aucune réponse.Le ouï-dire est  resté longuement en l'état.Puis,un extrait d'un livre paru à la fin septembre 2017 a relancé la curiosité sur le parcours combattant de ce jeune homme d'Ithorrots. 
Le format courrier des lecteurs  ne se prête pas à la longueur des explications et aux mentions des sources consultées.À l'inverse,toutes choses possibles dans le cadre d'un blog.

Le livre qui a ranimé les recherches sur 

Bertrand Laurent d'Abbadie  

À la Libération, le colonel Paul Paillole, responsable du contre-espionnage français, centralise une liste des personnes soupçonnées d'avoir collaboré avec l'occupant allemand.

Extrait du livre de Dominique Lormier "Les 100 000 collabos"Cherche Midi éditeur

Ce Bertrand Laurent d’Abadie - avec un b - rendu visible par Dominique Lormier, correspondrait-il à Bertrand Laurent d’Abbadie - avec deux b - né le 6 décembre 1923 à Ithorrots (64). S’agit-il d’une erreur de plume dans la transcription du patronyme ou de deux individus totalement différents ?
Pas la moindre trace d'un éventuel milicien sous le nom de d'Abbadie au Pays Basque, dans le Béarn ou dans les départements limitrophes.

La généalogie en aide à la recherche

Lorsqu'on ne trouve pas directement des renseignements sur le passé d'un individu,une méthode d'investigation consiste à s’intéresser à l'entourage familial.Les actes d'état civil accessibles depuis les communes et ou les Archives départementales, livrent des indices  aux recherches.
Les parents de Bertrand, Laurent Jacques d’Abbadie  et Germaine Marie Rose Isabelle Botet de Lacaze se sont mariés le 29 novembre 1920 à la Labastide-Castel-Amouroux dans l’arrondissement de Marmande (47). Le mariage civil a été célébré par Henri Botet de Lacaze, châtelain, maire de cette petite commune et oncle de la mariée.Sous le gouvernement du Maréchal Pétain,il sera  Chef local du Service d'ordre légionnaire (SOL) ,chef de Cohorte milicienne.puis délégué régional de la Milice pour la zone sud.

   Vol de la  Milice dans un garage de la gendarmerie         

Dans la nuit du 7 au 8 juin 1943, Botet de Lacaze , commande un groupe de miliciens dans le vol de onze side-cars et de quatre motos rangées dans un garage de la brigade motorisée de gendarmerie de Grignols (Gironde). Rapidement, la gendarmerie parvient à établir sa responsabilité dans ce coup de main. Un inspecteur des Renseignements Généraux souligne dans un bulletin de renseignements daté du 17 juin :

« Ce vol effectué en bande probablement armée, la nuit, avec effraction, d’un matériel appartenant à l’État par des membres d’un organisme officiel commence à être connu dans la région où il fait une très mauvaise impression dans tous les milieux.
Les gens d’ordre, des Nationaux sensés, réprouvent énergiquement ces méthodes qui accroissent le désarroi des esprits en participant à l’anarchie où le pays semble déjà glisser. Ils disent que la plupart des Miliciens sont des gens tarés cherchant à créer un État dans l’État et ne valant guère mieux que les communistes ».

Le plaidoyer de Joseph Darnand secrétaire général de la Milice Française

Côté jardin, Botet de Lacaze est révoqué de ses fonctions de conseiller départemental de Lot-et-Garonne et de maire  de Labastide-Castel-Amouroux .

Côté cour, Joseph Darnand secrétaire général de la Milice Française adresse un courrier  au préfet du Lot-et-Garonne  :
« Vous demandez, Monsieur le Préfet , que je prenne des sanctions contre mon Camarade. Les apparences sont trop contre lui pour que je ne vous donne pas satisfaction et je vous informe que Henri BOTET DE LACAZE , Chef de Cohorte de Castel Jaloux est déchu de son grade et ramené à la simple condition de Franc-Garde.
Si je cède ainsi à l’insistance que vous avez mise à obtenir une sanction contre l’un des nôtres, je me permets cependant d’attirer votre attention sur le passé de la famille BOTET DE LACAZE dans votre département. Les BOTET DE LACAZE ont été appelés, de père en fils, par la voix publique à diriger les destinées politiques de leur commune et de leur canton. Ils sont estimés et aimés de leurs concitoyens. Je voudrais aujourd’hui que pour une faute bénigne ne dépassant en aucun cas le cadre de son activité milicienne, mon camarade Henri BOTET DE LACAZE ne soit pas déchu de la confiance publique accordée depuis plusieurs générations à sa famille. Je sais que diverses interventions, émanant d’autres organisations que la nôtre, sont venues peser sur votre décision. Mais la sanction prise contre DE LACAZE dans le cadre de la Milice est, à mon avis, suffisante pour calmer les inquiétudes qui ont pu être soulevées et exploitées dans votre département. »
[2]

La sanction sera de courte durée. À la fin février 1944 Henri Botet de Lacaze est nommé délégué général de la Milice pour la zone sud. Il s’installe à Vichy et assure la liaison entre le secrétaire général Francis Bout De l'An et les chefs régionaux ou départementaux de la Milice.

Fuyant l'avancée des troupes alliées en France, il restera en exil à Sigmaringen jusqu'à son départ pour Milan le 22 avril 1945. Sa trace se perd en Italie.


Henri Botet de Lacaze et deux de ses enfants condamnés à mort par contumace

Un arrêt du 16 octobre 1945 de la Cour de Justice séant à Riom, condamne à mort par contumace,à la dégradation nationale et à la confiscation de ses biens pour crime d’intelligence avec l’ennemi, Henri Botet de Lacaze.

Deux de ses fils, Jean et Maxime, qu’il a enrôlés dans la Milice et qui auraient par la suite combattu au sein de la Waffen SS « Charlemagne » ,sont également condamnés à la peine de mort et à la confiscation de tous leurs biens présents et futurs pour crime d’intelligence avec l’ennemi par deux arrêts de contumace de la Cour de Justice d’Agen en date du 18 septembre 1946.


La fuite vers l’Argentine

Henri Botet de Lacaze, son épouse et leurs enfants, parviennent à s’enfuir d’une Europe dévastée par la guerre. Ils voyageront à bord du Cabo de Buena Esperanza_au départ de Bilbao ?_sous les identités suivantes:

Botet de Lacaze de Menou Geliot Hubert Joseph,ville de naissance G.Gérona,âgé de 13 ans

Botet de Lacaze de Menou Léon,Fernand,François, ville de naissance Toulouse, âgé de 58 ans

De Lacaze de Menou Geliot,Diane Françoise,ville de naissance ,L Gérona âgée de 19 ans

De Lacaze de Menou Geliot Elisabeth,Bernadette ,ville de naissance L.Gérona âgée de 10 ans

De Lacaze de Menou Geliot Fernand Maxime,ville de naissance  L.Gérona âgé de 22 ans

De Lacaze de Menou Geliot Henriette ,Odile,ville de naissance  LGérona  âgée de 17 ans

De Lacaze de Menou Geliot Jean Baptiste Ferdinand ,ville de naissance L.Gerona âgé de 25 ans

De Lacaze de Menou Geliot Marguerite Marie ,ville de naissance  L.Gerona âgée de  24 ans

Ils débarqueront  à Buenos Aires le 2 octobre 1946

Henri Botet de Lacaze  décède le 2 septembre 1956. La justice française ordonne la cessation des recherches en 1973 seulement, en apprenant son décès.


Et Bertrand Laurent d’Abbadie ?


L’appartenance à la Milice Française étant susceptible de constituer un motif de poursuites, nous nous sommes tournés vers le Dépôt Central des Archives de la Justice Militaire (DCAJM) situé dans le département de l’Indre. Une procédure a été effectivement instruite par le Tribunal militaire de Bordeaux à l’encontre d'un Bertrand d’Abbadie né le 6/12/1923 à Ithorrots.

La grand-mère du jeune Bertrand Laurent d'Abbadie, Jessie d’Abbadie, née Tessié de La Motte, âgée de 81 ans, déclare dans le cadre de l'instruction : son fils Laurent Jacques a été mobilisé en qualité de capitaine et fait prisonnier en juin 1940, il est resté en captivité en Allemagne jusqu’à son rapatriement au mois de juillet 1941 comme père de famille nombreuse, cinq enfants, Bertrand, Jean, Maiten, Evelyne, Raymond. 

Il résulte de l’enquête :

  • Du mois d’octobre 1940 au mois de juillet 1941 son petit-fils, Bertrand Laurent, est étudiant à Toulouse, au Caousou, école de l’Immaculée conception tenue par les pères jésuites, pour préparer la 2ème partie du baccalauréat-mathématiques.
  • Du mois d’octobre 1941 au mois d’octobre 1942, et du mois d’octobre 1942 au 21 janvier 1943 (une date chère aux royalistes, mort de Louis XVI), il est interne au lycée (Pierre de Fermat ?) de Toulouse et suit les cours préparatoires au Concours d’admission à l’École Spéciale Militaire de Saint Cyr. L’Armée et l’École de Saint Cyr sont dissoutes en février 1943, le 5 février 1943 l’étudiant prend deux inscriptions à la Faculté de droit de Toulouse, mais ne suit les cours que durant quelques mois.

  • Toujours selon sa grand-mère, dès 1942, Bertrand Laurent est rarement au domicile familial et  manifeste le désir d’intégrer une formation pro-allemande. La mésentente éclate entre le père et le fils à propos des idées politiques de ce dernier. Peut-être influencé par son oncle maternel, Henri Botet de Lacaze, il passe outre les ordres de son père qui lui interdit catégoriquement de s’engager dans des groupements qui venaient de se former et recrutaient des jeunes, souvent des mineurs, pour des formations militaires et il fait un stage de deux ou trois mois dans les Chantiers de jeunesse.
  • Cette même année la famille d’Abbadie vient habiter à Toulouse au n°  6 de la rue Darquie et quitte ce domicile un mois avant la Libération. Il semble que durant son séjour à Toulouse il ne se soit livré à aucune activité répréhensible ou s’il l’a fait, cela a été à l’insu de ses maîtres et condisciples, ne portant pas de tenue de milicien. Toutefois il y est signalé comme Franc-Garde, branche armée de la Milice

  • En 1943 il rejoint l’École des cadres de la Milice à Uriage (Isère). Cette École avait été voulue par le maréchal Pétain pour la formation d’une élite destinée au redressement de la Nation, en particulier pour la formation des meneurs des Chantiers de la jeunesse. À l’origine l’École est marquée par la fidélité au Maréchal, mais à partir du 11 février 1943 elle passe sous les ordres de Joseph Darnand et de la Milice. Le comte Pierre Louis de la Ney du Vair (1907-1945) royaliste, ami de Charles Maurras, antiparlementariste, nationaliste et violemment anticommuniste devient directeur de l’École. Le nom de d’Abbadie figure dans les listes en possession de du Vair." Le nom de ce milicien _d'Abbadie_ n’a éveillé aucun souvenir dans l’esprit des habitants des diverses localités savoyardes où la Milice a cantonné » 

Il résulte encore de l’instruction:

  • Qu’il n’a pas été poursuivi par la Cour de Justice de Toulouse et aucune enquête n’a été effectuée sur son compte par les différents services de police de Toulouse.

  • Qu’un d’Abbadie Bertrand figure dans un fichier de police régional comme chef de dizaine sous les ordres de Jacques Delile, Chef de Cohorte Régional à Agen.

Le 1er juin 1948 selon le jugement du Tribunal militaire de Bordeaux, Bertrand Laurent d’Abbadie est effectivement reconnu membre de la Milice en Lot-et-Garonne, inculpé d’infraction à la sûreté extérieure de l’État (infraction prévue par les articles 75 et suivants du Code pénal), mais il n’a pu être établi qu’il ait exercé une activité quelconque dans cette formation, l’inculpé n’est donc passible que de la peine d’indignité nationale.
Curieusement (carence des tribunaux de cette époque ?), l’instruction judiciaire n’a pas établi l’existence d’une proximité familiale entre Bertrand d’Abbadie, milicien dans le Lot-et-Garonne, et Henri Botet de Lacaze, délégué général de la Milice pour la zone sud. Les recherches effectuées dans le cadre de l’enquête n’ont pas mis en évidence l’éventuelle participation de Bertrand d’Abbadie à des activités violentes dans le Lot-et-Garonne et en Rhône-Alpes.

          

Du brouillard de la fin de la guerre à l’Argentine


Dans l’Encyclopédie de l'Ordre Nouveau – Hors série – Français sous l’uniforme allemand, Partie 2, Sous-officiers & Hommes du rang de la Waffen-SS, juin 2019, Grégory Bouysse publie une brève notice biographique consacrée à Bertrand Laurent d’Abbadie, né à Ithorots le 6 décembre 1923, chef de dizaine dans la Franc-Garde permanente du Lot-et-Garonne, versé à la Waffen-SS en novembre 1944, passé par la SS-Panzergrenadierschule de Kienschlag (second Führerbewerber – Lehrgang du 5 février au 14 avril 1945), avec, sans doute, un grade de sous-officier, Waffen – Unterscharführer der SS,(...).
 
ISBN 978-0-244-49450-6_Gregory Bouysse _Auto édition Lulu.com



Quelle a été la suite du  parcours de Bertrand Laurent d'Abbadie  entre la fin des combats et son installation en Argentine ? S’est il caché en France, en Italie ou en Espagne , en attendant des jours meilleurs ? Qui l’a aidé ? Questions sans réponse à ce jour.Il y a là un vaste terrain à défricher pour les chercheurs en histoire.

A propos de l’enquête

Les résultats de cette enquête sont les fruits d'un travail d'équipe.Du Pays Basque à l'Allemagne,et au-delà de l'Europe,chacun à apporté sa pierre à l'édifice.Merci à toutes et à tous.


Sources

État civil d'Ithorrots (64) et de Labastide-Castel-Amouroux (47)

Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Site de Pau
Archives de l'épuration:internement ,justice .

Contributions de Jean-Pierre Koscielnak professeur d'histoire -géographie à Agen (47)
Vichy en Aquitaine _Les Éditions de l'Atelier
La Milice au service de l'ordre nouveau:l'expérience lot-et-garonnaise par Jean-Pierre Koscielnak

Eté 1944
La libération du Lot-et-Garonne et de la Gironde rattachée_Éditions Privat
Henri Botet de Lacaze ou la République honnie par Jean-Pierre Koscielnak

Collaboration et épuration en Lot-et-Garonne 1940-1945 
Editions d'Albret  maison d'édition des amis du vieux Nérac

Editions d'Albret

Archives départementales Lot-et-Garonne (AD 47)
Attention 2 sites des AD 47 à Agen
Archives départementales Centre des archives contemporaines .
Pascal De Toffoli des AD 47,que je remercie,a suggéré la consultation de plusieurs fonds dont

1 W Article 377
1 W Article 385
1 W 443,444,445

1738 W Article 62
1738 W Article 74
1769  W Article 767 et 768
1738 W Article 87
1738 W Article 90
1825 W Article 99
1825 Article 578 Château de Ferron,fonctionnement,1944.


List of passengers of the ship CABO DE BUENA ESPERANZA to Argentina Arrived to Buenos Aires on Oct 02, 1946


Dépôt Central d’Archives de la Justice Militaire (DCAJM)
54 rue de la Guignière
BP 214
36300 LE BLANC
Courriel : dcajm.cmi.fct@intradef.gouv.fr

Gregory Bouysse
Ouvrage papier
Encyclopédie de l'Ordre Nouveau - Hors-série - Français sous l'uniforme Allemand Partie II : Sous-officiers & hommes du rang de la Waffen-SS
Gregory Bouysse _Auto édition Lulu.com

Site internet 
Encyclopédie de l'Ordre Nouveau 




17 octobre 2019

Testament de Gabriel Sentuc (Arcachon 1891- Bayonne1941)


Testament olographe en date à Bayonne du 26 janvier 1940,remis aux mains de Me Ramond le 6/2/41, aux termes duquel Jean Baptiste Gabriel Sentuc,décédé en son domicile à Bayonne le 30 janvier 1941,a écrit ses dernières volontés.
Annuaire Havas 1930_Collection particulière
"Si la mort doit me surprendre,je désire que certaines dispositions soient prises pour assurer l'avenir de ma chère femme,de mes enfants et de ceux que j'aime et auxquels je m’intéresse.
Comme ma femme n'est pas familiarisée avec les affaires,je désire que:

a) le Conseil de famille comprenne en outre de ma femme,ma mère, veuve  Pierre Sentuc, mon beau-frère Joseph Cazaux,mon beau-frère Courtiau,mes amis Augustin Boiteux,Marcel Rougardy  et Gabriel Castagnet,mes collaborateurs Jules Lestrade et Roger Hubert,ainsi que mon notaire Me Ramond

b) que les intérêts de ma femme et de mes fils soient réglés comme suit:
les affaires charbons,poteaux traitées à Bayonne passeront sous la responsabilité personnelle de Lestrade,(s'il est dans l'impossibilité d'assurer cette direction il faudra envisager de louer à un confrère charbonnier,de préférence Charles Dolfus) pour 10 années.
Le conseil de famille mettra à sa disposition les fonds nécessaires pour assurer cette exploitation qui représente annuellement environ 500.000 F.Lestrade aura une participation dans ces affaires de 5%
Si 3 années consécutives laissent une perte de 30% ces affaires seront louées à un confrère pour 10 ans.
Les affaires charbons poteaux traitées à Bayonne passeront sous la responsabilité personnelle de Hubert dans les mêmes conditions.
Les usines de liège Bayonne Var et Salé nécessitent des mouvements de fonds importants et je ne voudrais pas que leur question compromette la situation acquise.Ces usines seront louées à des confrères de préférence au même pour 10 ans.Plus tard un ou plusieurs de mes fils pourront en assurer l'exploitation s'ils en ont les aptitudes.Cette location rendra disponible des capitaux importants qui seront placés au mieux par le Conseil de Famille.

Mes assurances (600.000F) resteront à la disposition de mes affaires,mais mes réserves personnelles seront affectées aux affaires seulement si de besoin.Actuellement,je dispose de 500£ dans mon coffre,1500£ également en bank-notes dans mon coffre de la Banque de France et 1500£ dans mon coffre de la Société Générale.
En outre Mr Joubert a 5292.40$ à New-York qui sont ma propriété et enfin j'ai 2449£ en compte courant spécial chez M_illisible Cardiff_

Si je meurs avant d'avoir transféré mes affaires en sociétés anonymes ,chaque société (Sentuc & Cie,les Lièges du Var,les Lièges du Maroc) sera modifiée comme suit en S.A.
69% d'actions à ma femme et mes enfants (chacun des 3 garçons recevant 10%)
6% à Lestrade
5% à Boiteux
5% à Barrier
5% à Hubert
4% à Harismendy
3% à Gaillardon
3% à Darizcuren

Mr Boiteux d'après les statuts de Sentuc & Cie et Lièges du Var a droit à 20%.

Si mes enfants  ont des aptitudes commerciales j'aimerais que plus tard ils prennent part à la Direction des affaires que j'ai crées.Sinon un capital sera constitué à leur profit pour qu'ils en disposent à 21 ans.

Sur la base du coût de la vie actuelle j'assure à ma mère un minimum de 40.000F par an.
Mon beau-frère Cazaux me doit des sommes élevées que je lui ai avancées (environ 200.000F) je désire que cette somme ne soit pas réclamée et serve plus tard à Josette.

Je désire qu'aucun collaborateur employé ou ouvrier ne renvoyé sans raison grave,ceci pendant 3 ans pour les employés,1 an pour les ouvriers.
Je désire que la somme de 20.000F soit versée aux oeuvres de bienfaisance de Bayonne et plus particulièrement qui soulagent les misères ouvrières.

(...)

Source
AD 64 Annexe de Bayonne
3 Q 5 Art.643 Enregistrement :bureau de Bayonne

Renseignements complémentaires
(Jean Baptiste ) Gabriel Sentuc né le 25 avril 1891 à Arcachon
Sa fiche matricule militaire consultable sur le site internet des AD 33
Conseiller municipal de Bayonne élu sur la liste du docteur Lafourcade






Annuaire Havas 1930

06 octobre 2019

Vient de paraître:Retrouver ses ancêtres basques

Les éditions Archives & Culture publient un guide dédié aux particularités des recherches généalogiques  au Pays basque.

"La généalogie basque n’est pas chose facile : le rôle prépondérant de la maison (etxe), point d’ancrage de toutes les traditions, la transmission du patrimoine à travers les aînés garçon ou fille (primogéniture), le sort réservé aux cadets et les changements fréquents de nom patronymique peuvent dérouter le chercheur.
Ce guide se veut particulièrement concret pour lever ses obstacles, mais aussi retrouver les parcours professionnels d’ancêtres douaniers, instituteurs, militaires, etc.
Comme le phénomène de l’émigration massive aux XIXe  et XXe  siècles fait que chaque famille a dans sa généalogie au moins un parent ayant fait souche en Argentine, en Uruguay, au Chili ou dans l’Ouest américain… cet ouvrage aborde bien sûr la diaspora. Il permet au généalogiste, même débutant, de se lancer sur les traces de ses cousins partis tenter leur chance « aux Amériques ».
Anecdotes et histoires vécues se mêlent ainsi aux conseils généalogiques pour vous entraîner au mieux sur la piste de vos ancêtres. Bonnes recherches !"

79 pages_12€
ISBN-10 : 235077354XISBN-13 : 978-2350773544
Diffusion du livre en librairie SODIF GEODIF


Les auteures
Marie Eppherre-Provensal passionnée de généalogie anime un blog aldaxkatik-aldaxkara (d'arbre en arbre)

Isabelle Louradour,est à la fois présidente d'une association de généalogie en Pays basque_Gen&O_ et  généalogiste professionnelle.
Gen & O
Accès à la base de données de Gen&O
Louradour généalogie


Pour aller plus loin

L’ensemble des archives notariales concernant le Pays basque a été numérisé.
et est accessible en ligne sur le site internet earchives.le64.fr  

  • Notaires du département des Pyrénées-Atlantiques
  • Minutes de notaires des localités extérieures au département des Pyrénées-Atlantiques

En salle de lecture  du Pôle d'archives de Bayonne et du Pays basque  39, avenue Duvergier de Hauranne 64100 Bayonne

 Sites généalogiques Pays basque

Généalogie et Histoire des Familles Pays Basque-Adour Maritime
Voir sur le site internet le calendrier des permanences à Bayonne et Saint-Jean-Pied-de-Port

CharnéGroupe

Amikuze Généalogie 

Gen Francesa 

Bridge to the Pyrénées (Communauté basque en Californie du sud) 

26 septembre 2019

Une nouvelle base de données :la repression judiciaire de la Commune de Paris (1871-1880)

Une nouvelle base de données à la disposition des chercheurs et des généalogistes : la répression judiciaire de la Commune de Paris : des pontons à l’amnistie (1871-1880).


"Pour les 41 375 personnes inculpées par la justice militaire, la base s’efforce de prendre en compte l’ensemble du processus répressif, de l’arrestation à l’exécution des peines en passant par les séjours sur les pontons, l’élargissement du plus grand nombre par ordonnances de non-lieu, le jugement des accusés devant les 26 conseils de guerre, la déportation en Nouvelle-Calédonie, les détentions en prisons de la métropole et les grâces accordées jusqu’à l’amnistie de 1880. Les informations disponibles pour chacune de ces étapes se retrouvent dans les notices individuelle"



Une base de données de 41 375 personnes 
La recherche peut se faire selon des critères variés dont : 
puis possibilité de tri par commune ou par nom de famille

 


Copie écran du site internet https://communards-1871.fr/
La répression judiciaire de la Commune de Paris : des pontons à l’amnistie (1871-1880),

Diffusion sur internet des informations personnelles relatives aux infractions et condamnations


Les informations personnelles relatives aux infractions et condamnations constituent des données sensibles au sens de la CNIL. Lorsqu’elles sont indexées, leur diffusion sans restriction n’est autorisée qu’après un délai de 150 ans. Pour cette raison, trois modes de consultation de ce site web ont été définis, en s’inspirant de la délibération CNIL n° 2014-301 :


3 types d'accès aux données

  1. Accès par défaut : en l’absence de connexion, l’internaute peut accéder aux pages de présentation et documentation de la base, à une partie des données cartographiques et statistiques, aux fiches intégrales des personnages publics, aux seules données personnelles non sensibles (principalement : état-civil, profession, cotes d’archives) des autres fiches individuelles, à quelques listes nominatives dénuées de données sensibles (liste des femmes, des militaires, etc.) et à la recherche par nom. La recherche par nom permet aux internautes de déterminer si leurs ancêtres ou tel personnage historique sont présents dans la base, afin de décider ou non d’accéder au deuxième mode.

  2. Les généalogistes et autres internautes souhaitant consulter quelques fiches individuelles non censurées (c’est-à-dire comportant les mentions relatives aux infractions, condamnations, détentions et grâces) peuvent se créer automatiquement un compte au bas de cette page. Celui-ci aura une validité de deux semaines et leur permettra de consulter dix fiches. Ce mode ne donne pas accès aux listes nominatives et moteurs de recherche utilisant les données sensibles indexées (recherche par type de condamnation, lieu de jugement, lieu de détention, etc.).

  3. Les chercheurs souhaitant accéder sans limitation au contenu du site (modules cartographique et statistique ; moteurs de recherches et listes nominatives basés sur les données sensibles indexées ; fiches individuelles non censurées des données sensibles en nombre illimité) doivent adresser une demande motivée à la direction du Centre Georges Chevrier.
    Par courriel : chevrier.direction@u-bourgogne.fr, en mettant en copie chevrier.logistique@u-bourgogne.fr
    Par courrier : Centre Georges Chevrier UMR 7366 CNRS-uB, Faculté de Droit et de Science Politique, 4 Boulevard Gabriel, BP 17270 F-21072 DIJON CEDEX


Centre Georges Chevrier - (Université de Bourgogne/CNRS),
Base de données réalisée par Jean-Claude Farcy
Programmation web : David Valageas
Référence électronique : Jean-Claude Farcy, La répression judiciaire de la Commune de Paris : des pontons à l’amnistie (1871-1880),
Centre Georges Chevrier - (Université de Bourgogne/CNRS),
mise en ligne le 26 septembre 2019, URL : https://communards-1871.fr
Pour signaler tout dysfonctionnement, contacter : chevrier.logistique [at] u-bourgogne.fr.
Pour toute question d’ordre scientifique, contacter : Jean-Claude.Farcy [at] wanadoo.fr.


Autres bases de données réalisées par Jean-Claude Farcy





 Une sélection d'ouvrages de Jean-Claude Farcy

Guide de généalogie de Jean-Claude Farcy aux éditions Archives et Culture
Archives judiciaires et généalogie

Sur le site GALLICA
Guide des archives judiciaires et pénitentiaires : 1800-1958 Jean-Claude Farcy

Les camps de concentration français de la première guerre mondiale (1914-1920), Paris, Anthropos, 1995, 373 p.


22 septembre 2019

21 novembre 1908 les archives départementales des Basses-Pyrénées brûlent

21 novembre 1908 les archives départementales des 

Basses-Pyrénées brûlent


Mémorial des Pyrénées du 27 novembre 1908
Une perte irréparable

Sous ce titre,et à propos de la destruction des archives de Pau,nous lisons dans le "Soleil":
"Une dépêche très laconique annonçait l'incendie des archives départementales du département des Basses-Pyrénées à la Préfecture de Pau.
Il n'est pas un homme s'occupant d'histoire qui n'ait du apprendre cette nouvelle avec affliction.Qu'éprouverat--il lorsqu'il saura que les documents les plus précieux ont été la proie des flammes?C'est dans ce dépôt,l'un des plus riches de France,que se trouvaient tous les papiers provenant de la Cour et du Parlement de Navarre,notamment les comptes de la trésorerie,qui contenaient les renseignements les plus précieux sur Jeanne d'Albret et Henri IV.Faut-il parler en outre,des fonds abbatiaux,de toutes les chartes coutumières,si curieuses dans ce pays de Béarn.La perte est irréparable.
On l'appréciera davantage en en consultant les inventaires qui avaient été faits par les divers archivistes depuis cinquante ans,et par les nombreux travaux qui n'avaient pas pu être accomplis que grâce aux documents réunis aux archives départementales des Basses-Pyrénées.Ce malheur irréparable était à redouter.Ceux qui ont visité les archives de Pau constataient jadis avec douleur leur aménagement déplorable.A t-il été amélioré depuis?C'est ce qu'on devra faire savoir à bref délai,car il y a là  une grosse responsabilité.L'inspection générale des archives a-t-elle fait son devoir,et signalé les dangers d'incendie qui pouvaient menacer un dépôt aussi important que celui de Pau?
On  se soucie beaucoup ,et avec raison,des musées de province,mais on devrait bien songer aussi aux archives départementales.Il ne faut pas oublier que l'Etat depuis la révolution,s'est approprié les archives des abbayes,des chapitres ,des anciennes juridictions,celles d'anciennes familles,qui ont joué un rôle historique ,et que ses spoliations lui imposaient ,tout au moins,ses devoirs de conservation.
Nous espérons que le désastre qui vient de se produire provoquera une sérieuse enquête et servira de leçon."

 

Gratifications aux militaires qui ont lutté contre l'incendie de la préfecture


XVIIIe CORPS D'ARMEE
36 e Division
72 e Brigade
18 e RÉGIMENT D INFANTERIE
LE COLONEL

Pau,le 31 janvier 1909

Monsieur le Préfet

J'ai l'honneur de vous accuser réception du mandat de la somme de 300 f que le Conseil Général a bien voulu accorder à mon régiment à titre de gratification.
Je fais acheter avec cette somme,du vin qui sera distribué au mess des sous officiers et aux ordinaires des caporaux et soldats ,à raison des caporaux et soldats,à raison d'une ration par homme et par jour,jusqu'à épuisement de la quantité qu'on se sera procurée.
J'ai transmis d'autre part à tout le personnel de mon régiment,l'expression de la reconnaissance des représentants du département,que vous avez bien voulu me transmettre.
Je tiens à vous remercier,M.le Préfet,de la proposition que vous avez faite en cette circonstance au Conseil Général et à vous dire combien il m'a été agréable de recevoir de vous,l'assurance que mon régiment avait pu se rendre utile,lors de l'incendie qui a détruit les bureaux de la Préfecture.
Veuillez agréer,M.le Préfet l'expression de mes sentiments respectueux et dévoués.

Source:
AD 64 Pau
Administration générale du département
1 M 235
Catastrophes diverses (catastrophe des mines d'Arre à Laruns,incendies dont celui de la préfecture et des archives avec coupures de presse,explosion de la poudrerie de Blancpignon,tremblements de terre,éboulements,avalanches,orages,inondations,incendies de forets,raz de marée sur la Côte
Basque):rapports,télégrammes,correspondance.
1882-1883
1908-1940

18 septembre 2019

La sous-série 128 J aux AD 64 à Pau :un important gisement méconnu de pièces annexes de l'état civil

La sous-série 128 J aux AD 64 à Pau :un important gisement 

méconnu de pièces annexes de l'état civil 


Les pièces annexes de l’état civil conservées à Pau sous le statut d'archives privées,concernent la plupart des communes de l'ancien département des Basses-Pyrénées.
Les périodes couvertes et l'importance des fonds,varient selon les communes.Elles peuvent comporter des "trous".
Un inventaire détaillée est à la disposition des généalogistes et des associations, en libre service dans les salles de lecture à Pau et à Bayonne.
Quelle que soit la commune,les pièces annexes de l'état civil de la sous-série 128 J sont consultables uniquement en salle de lecture des AD 64 à Pau.
Avant de vous déplacer à Pau,renseignez-vous.
Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Cité administrative
Boulevard Tourasse
64000 Pau
Tél. : 05 59 84 97 60

archives@le64.fr



Inventaire 128 J disponible à Pau et Bayonne


Copie écran e-archives le 64.fr

Aperçu partiel de la richesse de la sous-série 128 J

Première page de l'inventaire de la sous série 128 J


128 J 11 Aldudes 1818-1843 Lacunes 1823-1826

128 J 15 Ance An XIV-1858
128 J 16 Andoins 1809-1853
128 J 20 Anhaux 1817-1853 Lacune 1818


128 J 54 Arudy An XI-1818
128 J 55 Arudy 1819-1830
128 J 56 Arudy 1831-1843
128 J 57 Arudy 1844-1853
128 J 58 Arudy 1854-1858


128 J 85 Bayonne An XI-1813
128 J 86 Bayonne 1814-1827
128 J 87 Bayonne 1828-1835
128 J 88 Bayonne 1840-1853 Lacunes 1841-1843,1848-1850
128 J 89 Bayonne 1854-1860
128 J 90 Bayonne 1861-1865
128 J 91 Bayonne 1866-1871
128 J 92 Bayonne 1872-1876
128 J 93 Bayonne 1877-1880
128 J 94 Bayonne 1881-1884
128 J 95 Bayonne 1886-1890 Lacune 1886 (2 eme publication)
128 J 97 Bayonne 1895-1897
128 J 98 Bayonne 1898-1900
128 J 99 Bayonne 1901-1904
128 J 100 Bayonne 1905-1908
128 J 101 Bayonne 1909-1914
128 J 102 Bayonne 1915-1922 Lacunes 1917-1918
128 J 103  Bayonne divorces adoptions An IX-1813


128 J 232 Lacq 1810-1859 Lacunes 1814-1815,1819

128 J 306 Mauléon 1808-1839 et 1890-1927 Lacunes An XIII-An XIV,1807,1811-1812,1919

128 J 311 Menditte 1816-1927 Lacunes 1825-1826,1848
128 J 312 Mendive 1812-1843 Lacunes 1813-1815,1817,1834

128 J 328 Monein 1807-1830
128 J 329 Monein 1831-1840
128 J 330 Monein 1841-1853


128 J 338 Montaut An XII-1853 Lacune 1842
128 J 341 Montory 1818-1879
128 J 342 Montory 1880-1927

128 J 349 Musculdy An VIII-1857 Lacunes An XII,An XIV,1807-1816,1846 et 1847

128 J 354 Nay An XI-1853,1827-1837,1839

128 J 361 Oloron An XI-1819
128 J 362 Oloron 1820-1836 Lacune 1821
128 J 363 Oloron 1837-1853 Lacunes 1816-1818

128 J 364 Oloron-Sainte-Marie 1807-1841 Lacunes 1816-1818

128 J 374 Orthez An XII-1826 Lacunes An XIII-1815,1819
128 J 375 Orthez 1826-1836
128 J 376 1837-1847



128 J 392 Pau An XII-1807
128 J 393 Pau  1808-1812
128 J 394 Pau  1813-1818
128 J 395 Pau  1819-1824
128 J 396 Pau  1825-1830
128 J 397 Pau  1831-1836
128 J 398 Pau  1837-1843
128 J 399 Pau  1844-1850
128 J 400 Pau  1851-1856
128 J 401 Pau  1857-1862 Lacune 1857
128 J 402 Pau 1863-1867
128 J 403 Pau 1868-1871
128 J 404 Pau 1872-1875
128 J 405 Pau 1876-1879
128 J 406 Pau 1880-1883
128 J 407 Pau 1884-1887
128 J 408 Pau 1888-1891
128 J 409 Pau 1892-1895
128 J 410 Pau 1896-1899
128 J 411 Pau 1900-1903
128 J 412 Pau 1904-1906
128 J 413 Pau 1907-1910
128 J 414 Pau 1911-1914
128 J 415 Pau 1915-1919 Lacune 19171911-1914
128 J 416 Pau 1920-1923
128 J 417 Pau 1924-1927

128 J 448 Sainte-Engrace 1818-1927 Lacune 1819
128 J 449 Saint-Etienne-de-Baigorry 1814-1743 Lacunes 1815-1818
128 J 450 Saint-Faust An XI-1853


128 J 461 Saint-Palais An XI-1839 Lacunes 1820-1822


128 J 464 Salies-de-Béarn An XI-1827 Lacunes An XIV-1808
128 J 465 Salies-de-Béarn 1828-1830
128 J 466 Salies-de-Béarn 1831-1835
128 J 467 Salies-de-Béarn 1836-1840
128 J 468 Salies-de-Béarn 1841-1853 Lacunes 1843-1848,1850 et 1851

128 J 505 Uhart-Cize 1820-1843 Lacune 1836
128 J 506 Uhart-Mixe 1817-1843,Lacune 1821
128 J 507 Urdes aN xi-1853,lacunes 1807-1810
128 J 508 Urdos 1843-1858
128 J 509 Urost An XI -1853 Lacunes;An XIII-An XIV,1807-1809,1832,1839
128 J 510 Uzan 1816-1855 ,Lacunes 1817 et 1854
128 J 511 Uzein An IV-1853 Lacunes;An V,An VII-An XIV,1807-1809,1811 et 1814
128 J 512 Uzos An XII-1853

Vauzé voir 128 J 83
128 J 513 Verderts 1843-1858
128J 514 Vialer An XI-1853 Lacunes 1824;1829 et 1830
128 J 515 Viellenave d'Arthez 1809-1853
128 J 516 Viellenave de Navarrenx An XII-1859 Lacunes;1807,1809-1810,1814,1818 et 1819
128 J 517 Viellesegure An IX-1859,Lacunes,1811-1818
128 J 518 Vignes 1819-1858 Lacunes 1820-1824
Villenave voir 128 J 501
128 J 519 Viodos 1815-1927 et Abense-de-Bas- 1810-1927;lacunes 1808-1816,1819,1838-1839,1843
128 J 520 Viven An XI-1843 et 1899-1925,lacunes 1807-1812,1815-1816

128 J 521 Extraits d'actes d'état civil de diverses communes