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24 mai 2025

Maison J.Haristoy, mécanicien à Urt

SONDAGES ET PUITS ARTESIENS  

 Maison J.Haristoy, mécanicien à Urt ,

et M.Hargues 53 rue Maubec Bayonne (Quartier St-Esprit)

 


Forage de puits artésiens, puits absorbants, puits de mines, puits d’ascenseurs et d’aérage, petits puits forés, en tuyaux de tôle, approfondissement de puits, recherches de mines et d’eaux minérales, captages de sources, sondages d’études pour fondations, chemins de fer, piles de ponts, routes et canaux , descente de paratonnerre, etc.

Puits forés

Dans les régions où la nappe d'eau se trouve à moins de 20 mètres de profondeur, on construit des puits forés avec pompe. Ce nouveau système, bien plus économique que celui des puits ordinaires, offre l'avantage d'occuper peu d'emplacement, d'être fermé, de ne recevoir de débris d'aucune sorte et de pénétrer assez profondément dans la nappe pour fournir constamment de l'eau fraîche et abondante. Les parois du puits sont ordinairement revêtues, dans la partie supérieure, de tubes en tôle d’acier doux, galvanisé ,de première qualité. Dans ces sortes de puits, on ajoute des pompes spéciales qui fonctionnent sans difficulté.

Puits artésiens

Nous ne dirons rien ici des nombreux services que peuvent rendre les puits artésiens au double point de vue industriel et agricole. Les succès obtenus dans les grandes propriétés et usines de France sont assez connus.

Pour établir un puits artésien, on construit un forage qui peut être exécuté suivant l’un des trois modes indiqués aux tarifs n°1 ,2 , 3.

Lorsqu’on obtient une nappe ascendante, un simple tubage de retenue est ordinairement suffisant, et  peut  être fourni aux conditions du tarif n°4.

Lorsqu’on obtient une ou plusieurs nappes jaillissantes, on peut mettre ,en plus du tubage de retenue, un tubage d’ascension ,et l’espace annulaire est garni de ciment ou de béton ,dont le prix est variable suivant les conditions d’exécution.

Approfondissement de puits à iel ouvert

Lorsqu'un puits ordinaire vient à manquer d'eau, il suffit de faire un forage dans le fond pour se mettre en communication avec une nappe d'eau inépuisable. Ce travail d'approfondissement a toujours donné, par la sonde artésienne, d'excellents résultats. Les puits deviennent ainsi intarissables.

On descend d'abord une colonne de tubes guides, ( voir Tarif n°4°, jusqu'au fond du puits, et le forage s'exécute aux conditions ordinaires (Tarifs n°1 2 ou 3 )

Sondages d’études

Les sondages d'études pour chemin de fer, fondations, piles de pont, routes et canaux, descentes de paratonnerres, etc., s'exécutent aux conditions ordinaires des forages, (Voir Tarifs n°1,2,3 et 4.)

Sondages en rivière

Les travaux s'exécutent en location ou à la journée, (Voir Tarifs n° 1, 2 et 4) et l’atelier de forage peut être installé soit sur une estacade fixe, soit sur un trépied mobile, soit sur des bateaux  qui nous sont fournis.

Puits absorbants, puits d’ascenseurs et d’aérage

Le forage est ordinairement exécuté aux conditions de l'un des tarifs n° 1, 2 ou 3. Pour le tubage, on peut se reporter au tarif n° 4.

TARIF N°1

Forages en location

Les administrations des Ponts et Chaussées, des Chemins de fer, les Compagnies des mines et d'Eaux minérales, MM. les Ingénieurs, Architectes et Propriétaires qui désirent employer la sonde artésienne pour explorer le sol dans un but quelconque, trouveront dans les magasins de la Maison J.HARISTOY, mécanicien à Urt , la plus grande variété d'outils de sondage. On peut louer des sondes de tout diamètre, depuis 60 millimètres jusqu'à 0,50 m, et pour toutes les profondeurs depuis 1 mètre jusqu'à 300 mètres.

La location du matériel commence le jour de la sortie de notre magasin et finit le jour de la rentrée. Les dimanches et fêtes seuls sont exceptés. Les sondes A , B , C ,D  marchent à bras d'hommes ; les autres peuvent être disposées sans modification du prix de la location, de manière à être commandées par une machine à vapeur ou toute autre force motrice convenable qui serait à la disposition de l'établissement dans lequel le forage doit être exécuté. S'il n'en existe pas et s'il y a avantage à ce que le travail ne se fasse pas à bras, nous nous chargeons de fournir une machine à vapeur moyennant un prix de location qui varie selon la profondeur.

Le matériel doit être rendu et entretenu propre et en bon état. Les réparations nécessaires pendant le travail ou au moment de son achèvement sont faites sur place d'après les indications du chef qui dirige le travail, par les soins et aux frais de celui qui fait exécuter le travail, ou elles sont faites à la rentrée et portées en compte.

Les diverses fournitures de graissage, de câble, d'éclairage, de chauffage, s’il y a lieu  les frais de main d'œuvre, etc., sont à la charge du propriétaire qui fait exécuter le travail. Si on le désire, nous pouvons fournir des hangars et des bâches moyennant une indemnité de 30 centimes par mètre superficiel et par mois.

Les journées de travail sont de 10 heures, hiver comme été. On comprend dans les journées de travail, outre celles employées au sondage proprement dit, à l'installation et au démontage du matériel, celles pour tubages, détubages, réparation d'accidents et pompage s'il y a lieu. Le travail doit être suspendu, le dimanche et les jours de fête, mais ces jours-là seulement.

Le personnel qui accompagne toujours notre matériel se compose d'un ou de deux chefs sondeurs, qui deviennent pour tout le temps du travail les employés propres de l'administration ou de la personne qui fait exécuter le sondage, sans que l'on puisse exiger d'eux un service autre que celui pour lequel nous les avons envoyés. Ils sont payés depuis le départ jusqu'au retour à Bayonne.

Le matériel de sondage se compose :d'un treuil de batterie et de manœuvres de la sonde avec ses semelles ;_ d'une chaîne-câble, d'une chèvre et d'une poulie avec ses semelles ;_ des tiges de sonde, raccords et allonges nécessaires pour descendre à la profondeur voulue ;_des tarières, trépans ,cuillères à soupapes  et autres outils servant  au forage et au curage ;_ des outils de manœuvre de la sonde ; tourne- à -gauche, assortis, clef de retenue, clef  de relevée, tête de sonde, manche de manœuvre, esse  ou moraillon de suspension, etc. ;_des outils pour la réparation des accidents : caracole, cloche à vis et tels autres instruments que nous avons en magasin ;et des outils spéciaux pour les opérations de tubage ,tels que riveurs et élargisseurs ;si le forage doit atteindre une grande profondeur, nous nous chargeons d'installer la chute libre, ou tout autre système pouvant atteindre la profondeur que l'on désire. ;l'outillage se compose d'une caisse à outils du chef de chantier et d'une caisse à casier pour échantillon de terrain.

L'indemnité qui nous est due pour l'allocation du matériel de forage en France s'établit comme suit :

Sonde A devant aller à moins de 2 mètres de profondeur 1 franc par journée

Sonde B devant aller à moins de 15 mètres de profondeur 5 francs par journée

Sonde C devant aller à moins de 25 mètres de profondeur 7 francs par journée

Sonde D devant aller à moins de 50 mètres de profondeur 9 francs par journée

Sonde E devant aller à moins de 100 mètres de profondeur 14 francs par journée

Sonde F devant aller à moins de 200 mètres de profondeur 18 francs par journée

Et ainsi de suite

Tarif N°2

Forages à la journée

 

L'Administration ou le Propriétaire qui fait exécuter le sondage peut s'affranchir du détail des frais de main-d'œuvre et autres, en traitant suivant le mode à la journée. Dans ce cas, nous prenons à notre charge la paie de tout le personnel, la réparation et l'entretien du matériel, le graissage, le chauffage et l'éclairage, en un mot toutes les fournitures autres que les tubages, s'ils sont nécessaires. Le prix de la journée de travail, l'indemnité comprise de location de matériel de sondage est établi comme suit :

Du sol naturel à 20 mètres de profondeur 30 francs par journée

Du sol naturel à 40 mètres de profondeur 33 francs par journée

Du sol naturel à 60 mètres de profondeur 36 francs par journée

Du sol naturel à 80 mètres de profondeur 39 francs par journée

Du sol naturel à 100 mètres de profondeur 42 francs par journée

Du sol naturel à 120 mètres de profondeur 45 francs par journée

Du sol naturel à 140 mètres de profondeur 48 francs par journée

Du sol naturel à 160 mètres de profondeur 50 francs par journée

Du sol naturel à 180 mètres de profondeur 52 francs par journée

Du sol naturel à 200 mètres de profondeur 54 francs par journée

Et en augmentant ainsi de suite par série de 20 mètres de profondeur.

La journée de travail est de 10 heures. On comprend dans les journées de travail, outre celles employées au sondage, à l'installation et au démontage du matériel, celles pour tubages, détubages, réparation d'accidents s'il y a lieu et pompage. Le travail doit être suspendu les dimanches et fêtes seulement

 

Tarifs N°3

Forages au mètre

Le prix d’un forage varie avec la nature des terrains à traverser, la profondeur à atteindre, les différents diamètres à lui donner, les conditions de main d’œuvre, les ressources locales, etc ;aussi est-il souvent impossible de poser à prix fixe les conditions auxquelles il peut être entrepris moyennant un prix d’approfondissement par mètre courant, en prenant tous les frais à notre charge. Nous ne pouvons traiter ainsi qu’après avoir été renseignés autant que possible sur les divers éléments qui doivent entrer en ligne de compte, soit par une visite et une étude faite par nous sur place, soit par des travaux déjà faits dans la localité.

Dans les endroits où nous pourrons traiter au mètre courant, comprenant la paie du personnel, les réparations et l’entretien du matériel, le graissage, le chauffage et l’éclairage, l’indemnité de la location du matériel de forage, en un mot toutes les fournitures, sauf les tubages et les essais de pompage ;s’ils sont nécessaires, est indiqué dans le tableau ci-dessous (..)

Tarif N°4

Tubages

Pour l’exécution d’un forage, on emploie souvent des tubes, soit pour retenir des couches de terrain qui éboulent, soit lorsqu’on attaque le fonds d’un puits pour retenir les tiges en respect, sans cela, un fouettement aurait lieu et les tiges casseraient, soit pour guider les nappes d'eau dans leur ascension.

Les tubes guides et les tubes de retenue sont ordinairement en tôle noire de première qualité. Les tubes d'ascension se font en tôle galvanisée ou en cuivre.

Les tubes de retenue et les tubes guides peuvent souvent être retirés en fin de travail et sont alors comptés en location ; les tubes d'ascension restent dans le forage et sont facturés au prix de vente.

Location des tubes. _ Si les tubes servent à un seul forage pendant un délai de moins de trois mois, nous pouvons louer des tubes guide ou des tubes de retenue au prix de 25 centimes le kilo. Si les tubes servent à plusieurs forages dans le même délai, le prix de location est de 30 centimes le kilo. Pour un délai de plus de 3 mois, on compte 10 centimes de plus par kilo et par mois. On nous doit la réparation des tubes détériorés.

Vente des tubes. _Les tubes en tôle noire sont vendus aux prix suivants/

1 fr. le kilo pour tubes ayant moins de 170 millimètres de diamètre intérieur,

0 fr. 90 pour tubes ayant plus de 170 millimètres mm et moins de 370 millimètres de diamètre intérieur,

0 fr. 80 pour tubes ayant plus de 370 millimètres et moins de 500 millimètres de diamètre intérieur,

Les tubes en tôle galvanisée sont vendus 1 fr. 20 le kilo,

Les tubes en cuivre rouge sont vendus 3 fr. le kilo,

Rivets._ Les rivets pour l'assemblage des tubes sont faits avec des rivets ordinaires qui valent 5 fr. le cent ou des rivets boulons qui valent 20 fr. le cent..

CONDITIONS GENERALES

ART.1er._Les frais de transport et de douane pour l’outillage à l’aller et retour et pendant le cours des travaux, ne sont pas à notre charge pas plus que les frais de voyage du personnel.

ART.2._Tous les paiements se font chaque mois entre nos mains, à Urt sans qu’une dérogation consentie par nous à cette règle puisse être invoquées pour en changer les conséquences.

ART.3._Toutes les interprétations ou discussion sur l’exécution des traités sont décidées souverainement à Urt par des arbitres amiables dispensés des formalités judiciaires, et toute personne qui traite avec nous prend l’engagement que toute difficulté qui ne serait pas soumise à des arbitres serait le serait à la décision des Tribunaux de Bayonne.

ART.4._Les accidents qui arrivent dans nos travaux sont rendus aussi peu fréquents que possible grâce au perfectionnement du matériel dont nous disposons, mais s’il en survient nous entendons n’encourir à leur égard, ni de leur fait, aucune responsabilité quelle qu’elle soit ._Quand le forage s’exécute en location ou à la journée le personnel est placé sous la responsabilité de celui qui fait exécuter le travail ,à moins qu’il ne s’en décharge sur nous en payant 10 centimes par journée d’ouvrier .

ART.5._Le chef de chantier doit, chaque semaine, soumettre un rapport spécialement dressé pour notre maison à la signature de celui qui fait exécuter le travail ou de son représentant, afin que ce dernier soit en mesure de vérifier l’exécution du travail et le détail des fournitures.

ART.6._Tous nos prix étant fixés par ces conditions qui servent de conventions, nous n’acceptons, en aucun cas, l’assimilation de nos mémoires à ceux qui sont susceptibles de rabais.

ART.7_En cas de suspension des travaux par la volonté du Propriétaire ou de l’Administration, il nous est dû ,à moins d’une entente préalable, une indemnité équivalente à la journée du chef de chantier et à la location du matériel.

ART.8._Un changement de diamètre m’entraîne aucune augmentation dans les prix, mais on doit nous renvoyer de suite, si nous en faisons la demande, les outils devenus inutiles

Les Chefs Sondeurs donnent tous les renseignements voulus aux Propriétaires qui désirent les connaître



Source :
Archive privée.Tarifs N°1,2,3,et 4.
Bon pour accepation des tarifs et des conditions générales Bayonne 18 juillet 1901

Compléments du blog

J.HARISTOY , sous réserve de vérifications, il pourrait s’agit de Jean Haristoy né le 7 avril 1888 à Urt. Sa fiche matricule militaire, indique en profession constructeur mécanicien.

https://earchives.le64.fr/archives-en-ligne
Registre de recrutement militaire simple
Haristoy Jean classe 1908
Bayonne Numéro matricule 770

 

HARGUES, on relève en salle de lecture du  Pôle d''archives de Bayonne et du Pays Basque (Annexe des AD 64) sur le recensement de 1906 de Bayonne:

53 rue Maubec Hargues Pierre, né en 1869 à Biaudos, puisatier.
Source : E Dépôt Bayonne 1 F Article 8-2
Rue Maubec 53/236/857

En ligne sa fiche matricule militaire,
https://earchives.le64.fr/archives-en-ligne
Registre de recrutement militaire simple
Hargues Pierre dit Marcelin classe 1889
Bayonne Numéro matricule 2209770

 

 

 

 

19 septembre 2022

Rue Serviez,Pau 1930

 Adresses de Pau

Listes des principaux habitants de Pau

Rue Serviez

(Annuaire 1930  Havas des Basses et Hautes Pyrénées)

 

1_Manufactures de Limoges,Vignes,chaussures.

Benoist et Gonsolon,chirurgiens-dentistes.

2_Malan.

Chaussures Dressoir,Guyard.

3_Toyon,épicier.

4_Pâtisserie Royaltiy.

Raoul,chaussures.

5_Beyrière (Mme),ceintures et corsets.

Beyrière,chef de contentieux de la Société anonyme de l'Union économique.

Capel (F.),magasin de parapluies.

6_Léonard,couturier.

Nègrevergne (Elichiry),parapluies,art.de voyages.

7_Sabatier (J-B),tissus,bonneterie,nouveautés.

8_Ancibure,pharmacien.

Maryan,artiste peintre.

Dubreuil,Cons,des Eaux et Forets.

9_Sabatier (J.)

Dispensaire d'hygiène sociale et de prévoyance antituberculeuse.

A la ville du Puy,lingerie.

Galos,tabacs,maroquinerie,articles de peche.

10_Apchin,tailleur.

Lafargue,tissus,nouveautés,lingerie.

11_A la Bottine verte,Tarouel (Vve),chaussures.

A la Ville de Limoges,poteries.

Asso,coiffeur,parfumerie.

Bonney (Abbé Marin),aumonier du Lycée.

Pintat (Mlle),prof.d'espagnol.

12_A la Grande Maison,Gallaret.

13_Clos,cafés.

Charcuterie Lyonnaise,Péré-Lahaille.

14_Au Renard bleu,Mirc,fourrures.

Blancharel.

Serres,inspect.de l'enregistr.

15_Compagnie Singer,machines à coudre.

Lennuyeux,bijouterie.

Saint-Cricq,couture.

16_Lescoutra,docteur stomatologiste.

Héguy,mercerie,modes.

Durand (L.).

17_Ousset,lingerie,bonneterie.

17 bis_Capel,parapluie,maroquinerie.

Christofeni,pédicure-manucure.

18_Coll,fruits,primeurs,légumes.

20_A la Ville de Madrid,lingerie,bonneterie.

Berthoumieu,camionage.

Jarvis,pharmacie.

21_Biehler,dentiste.

Laborde-babanègre,avoué.

Cruz (de La),garde-malade.

Gardères,docteur-médecin.

Espéranger,représentant de commerce.

Consulat du Portugal.

Emperauger,imprimeur.

Daleau,bijoutier.

Prieur,chef des poste contr.indirectes.

Temple protestant.

22_Lassabe(Mlle),modes.

Laprade,ingénieur.

23_Josuat,confiserie.

Duaso,fabrique de sandales.

Barès,coutellerie et optique.

Cabiran,bijouterie.

Laraillet,blanc,tissus,nouveautés,bonneterie,layette.

Marrimpouey ainé et ses Fils,papetiers,graveurs,imprimerie.

23 bis_Saint-Martin,lingerie.

24_Arès.

Lartillaire,bonneterie,lainages.

Dastas,quncaillerie.

Ousset et Arèes,lingerie,bonneterie.

Souberbie,docteur-médecin.

25_Abel,chaussures.

Lavenère-Lussan (De),assurances.

Nouveau Paris,Mayer,lingerie,bonneterie,lainages.

26_Valmy-Boulin,chapeaux et modes.

Boissié,parapluie.

Léliot,draperies,tissus,toiles,nouveautés.

Marsoo,docteur-médecin.

Réglat,avoué.

28_Cabinet franco-belge,Verdickt,agence immobilière.

Pugibet,sellier.

Ducos,tailleur.

Ruis,bijoutier.

Veronesse,opération bourse.

30_Campagne et Saclay,toiles,tissus,lainages,bonneterie.

32_Davy-Wallis,chirurgien-dentiste.

Lourau,patissier.

Michaud,mercerie.

34_Aux bonnes occasions,soldes.


22 juillet 2022

Le couple propriétaire du château de Brindos gêné par les avions de l'aérodrome de Biarritz Parme

Le traitement d'une réclamation, apporte un éclairage sur la vie de château à Brindos, et les clubs d'aviation de l'aérodrome de Biarritz Parme.

 

Copie écran géoportail ,situation (actuelle) du château de Brindos par rapport à l’aéroport de Parme

 

Château du lac de Brindos

Anglet (B.P.)

5 aout 1937


Monsieur le Préfet des Basses-Pyrénées,

Monsieur le Préfet,

Je me permets de m'adresser à vous pour vous demander de bien vouloir prendre les mesures nécessaires pour faire cesser un abus qui est nuisible non seulement à mes propres intérêts, mais aussi à la ville de Biarritz et la Région.

En 1930 j'ai acheté le Domaine de Brindos où j'ai fait construire une propriété importante. J’ai dépensé Frs.12.000.000 de francs pour les aménagements et constructions qui étaient terminées en 1932 et j’espérais, à partir de cette date, jouir en toute tranquillité demain demeure. J’occupe une vingtaine de domestiques et il y a souvent une trentaine de personnes en tout dans ma maison. Je n'ai donc pas besoin d’insister sur les sommes considérables que je dépense annuellement dans Biarritz et la région. Je reçois beaucoup et, jusqu'à cette année, j'ai toujours eu plaisir à prendre part avec mes invités aux démonstrations mondaines et aux Jeux aux Casinos.

Or, depuis quelques temps, les avions dépendant de l'aérodrome de Parme attenant à ma propriété me rendent intolérable la vie à Brindos. Ils survolent ma propriété toute la journée à de faibles altitudes empêchant aussi tout repos. Pendant une récente indisposition de ma femme, ceci est devenu pour elle un vrai supplice. Mon cours de tennis est devenu presque inutilisable en raison du bruit et de la distraction occasionnée par les avions survolant les joueurs. De plus le danger d'accidents est incessant et quatre avions sont déjà tombés à différentes reprises sur mon terrain à proximité de la maison causant des morts et des blessés avec toutes les constatations et autres désagréments que vous pouvez imaginer.

J'ai adressé depuis longtemps des réclamations à ce sujet au Maire de Biarritz, mais malgré son intervention vis-à-vis du Commandant du terrain d'aviation il n'y a aucune amélioration. Au contraire cette année la situation est devenue intolérable et j'étais sur le point de congédier mon personnel et de retourner en Angleterre quand on m'a conseillé de vous demander la faveur de votre intervention.

S'il s'agissait de besoins militaires où commerciaux, je ne me plaindrais pas, mais ce qui est absolument insupportable et le passage continuel des avions d'élèves ou de vols d’essai qui n'ont aucun besoin de passer au-dessus de ma propriété mais qui, par contre, ont l'apparence d'avoir choisi cette itinéraire malgré la promesse du Commandant de l’Aérodrome que cet abus cesserait.

Je vous serais infiniment reconnaissant, Monsieur le Préfet, si vous pouviez acheminer ma demande dans la bonne voie pour faire cesser cet état de choses qui a duré déjà trop longtemps.

Veuillez agréer, Monsieur le Préfet, avec mes remerciements anticipés, l'assurance de mes sentiments les plus distingués.

Reginald Wright

 

 

Ville de Biarritz

Cabinet du Maire

Biarritz, le 10 aout 1937

 



Monsieur CEUGNART
Commissaire Spécial
Hendaye

Monsieur le Commissaire,

Comme suite à la demande de renseignements que vous m'avez adressée, touchant une plainte de   M.WRIGHT ,Château de Brindos à Biarritz, contre les multiples inconvénients que lui occasionnent  la proximité de l'Aérodrome de Parme, j'ai l'avantage de vous informer qu'à de multiples reprises je suis intervenu, soit auprès de M.DEVAUX, Commandant de l'Aérodrome, soit auprès de M.de CROISEUIL, Président de l'Aéro-Club Basque, soit auprès de M.GALTIÉ président des Ailes Bayonnaises , pour leur signaler ces inconvénients et leur demander que toutes mesures soient prises afin de réduire le mal au minimum.

Je crois qu'à la suite de toutes ces démarches, une légère atténuation a été constatée. Mais il n'en reste pas moins que le séjour à Brindos est rendu pratiquement impossible par les avions qui volent à faible altitude.

Il semble que les avions de ligne, qui n'ont qu'à atterrir ou à s'envoler, ne provoquent qu'un moindre inconvénient. Tout le mal viendrait des élèves- pilotes, qui passent sur la propriété à trop faible altitude.

Le remède parait être :

1°) l'exécution des travaux prévus pour l'agrandissement de ce terrain ; travaux qui auront pour effet de reporter le centre du terrain vers le Nord, c'est à dire de l'éloigner de la propriété de Brindos ;

2°) la création, ainsi qu'il est projeté, dans les plaines de Tarnos, d’un terrain spécialement destiné à l'école de pilotage.

Le cas de M.WRIGHT  n'est pas unique, et divers autres propriétaires voisins du champ d'aviation m’ont  adressé des doléances, peut-être moins véhémentes, mais aussi précises. Il serait désolant pour Biarritz que la famille WRIGHT, très répandue dans la Colonie Américaine, quitte notre région.

Veuillez agréer, Monsieur le Commissaire, l'expression de mes sentiments distingués.

LE MAIRE

Hirigoyen

 

Pau, le 14 aout 1937,

Le Commissaire Spécial,

A Monsieur le Préfet des Basses-Pyrénées (Cabinet)

Pau

J'ai pris connaissance de la requête de M.WRIGHT qui se plaint d'être incommodé par le bruit des avions survolant sa propriété de Brindos ,avoisinant l'aérodrome de Parme.

La lettre de M. le Maire de Biarritz et le rapport du Commissaire Divisionnaire d’Hendaye envisagent une solution identique, à savoir : l'aménagement d'un terrain école dans une autre région entre Tarnos et Labenne.

En attendant cette éventualité, il conviendrait, à mon avis, de veiller à la stricte exécution du décret du 19 mai 1928, complétant les articles 21 et 22 de la loi du 31 mai 1924, qui impose le survol des agglomérations à plus de 500 mètres ; cette hauteur minima a été également fixée par la circulaire ministérielle du 19 octobre 1920

Un arrêté préfectoral pourrait être pris pour préciser les dispositions du décret de la circulaire visés ci-dessus.

Commissariat spécial de police de Pau

 

Hendaye, le 18 aout 1937

Le Commissaire Divisionnaire

A Monsieur le Préfet des Basses-Pyrénées

PAU

Satisfaisant à la demande d'enquête que vous avez bien voulu m'adresser, relativement à la plainte, ci-jointe, de M.WRIGHT, propriétaire du château de Brindos, sur la gêne que lui cause la présence, à proximité de son domaine, de l'aérodrome de Biarritz-Parme.

J'ai l'honneur de vous faire connaître que, de l'enquête à laquelle s’est livré M. AUZERO, Commissaire Spécial de mon service, il résulte ce qui suit :

La propriété de M.WRIGHT, d’une étendue de 48 hectares, dans laquelle se trouve une maison d'habitation, est en effet contiguë à l'aérodrome de Parme. Elle est située au SUD.EST par rapport à ce dernier et en contrebas, dans un vallon au fond duquel se trouve à lac d'une superficie d'une dizaine d’hectares.

L’état de choses dont se plaint M.WRIGHT, ainsi que plusieurs propriétaires, notamment M.ETCHECOPARE, DOYHENARD, le prince russe NARASKIN etc… que j'ai visités, est pour eux une gêne   incontestable, mais la solution pour y remédier apparaît bien difficile à trouver.

L’activité de l'aérodrome à sensiblement augmenté depuis quelques mois, en raison surtout de la création par les « Ailes Bayonnaises » de la section d'aviation populaire destinée à former des pilotes. L'aéro club Basque, par l'intermédiaire de la Maison CAUDRON-RENAULT, exploite une pareille école ; mais, tandis que ce dernier groupement ne possède qu'un nombre infime d'élèves, la section d'aviation populaire en a de 15 à 20.

Sans l'animation qu'apportent au terrain ces écoles de pilotage, le seul trafic normal des avions de transport et de tourisme ne pourrait aucunement importuner les habitants des environs de l'aérodrome.

Il convient pourtant de remarquer que les plaintes n'émanent que des propriétés situées au SUD.EST du terrain. Les vents dominants étant ceux de NORD.EST, les pilotes sont obligés, pour l’atterrissage, de placer leur appareil contre le vent et, ainsi, de voler dans la direction SUD.EST NORD.OUEST, c'est à dire exactement au-dessus de la propriété de M.WRIGHT. D’autre part, ce survol, en descente, ne peut se faire qu'à faible altitude, la longueur du terrain d'aviation dans ce sens n'étant que d'environ 500 mètres.

On conçoit l'inconvénient que présente cette situation pour les habitants du vallon de Brindos, importunés assez tôt le matin et le soir jusqu'à la tombée de la nuit, par les vols d'essais des élèves pilotes qui, pendant plusieurs heures atterrissent toutes les 8 à 10 minutes. Le bruit des moteurs est certainement encore amplifié dans les parties les plus profondes du vallon survolé, ce qui est le cas pour M.WRIGHT, dont la maison est située au bord du lac.

En ce qui concerne les dangers auxquels fait allusion M.WRIGHT ,ils  existent évidemment mais pas plus qu'en tout autre endroit des environs du terrain. Le plaignant fait erreur en indiquant que quatre appareils sont tombés dans sa propriété, car il y en a eu que deux :

1° le 15 août 1936 celle d'un avion destiné aux rebelles espagnols, en flammes ;

2° le 13 octobre 1936, celle de l'élève pilote le sieur De Vicente.

Le problème ne parait guère soluble sans la suppression des deux écoles de pilotage. Les présidents des deux sociétés concurrentes, M.M.GALTIER, pour les « Ailes Bayonnaises » et De CROISEUIL pour l’A.C.B., déclarent ,comme d’ailleurs le Commandant de l’Aérodrome, qu’il n’est pas possible d’interdire le survol de la propriété de M.WRIGHT chaque fois que le vent souffle du Nord-Ouest. De même une consigne prescrivant de passer plus à droite ou plus à gauche de cette propriété ne peut être donnée, affirment-ils. Enfin, il n'est pas non plus possible aux pilotes d'augmenter l'altitude sans risquer d'avoir un accident du côté opposé de l'aérodrome.

Monsieur le maire de Biarritz, que j'ai vu au cours de mon enquête m'a fait parvenir la lecture ci-jointe, dans laquelle il estime un remède possible dans :

1° l'exécution des travaux prévus pour l'agrandissement de l'aérodrome ;

2° la création d'un autre terrain destiné à l'école de pilotage.

Je considère que seule la seconde de ces solutions apporterait le remède désiré, l’agrandissement de l'aérodrome vers le nord n'étant pas, à mon avis de nature à donner une satisfaction suffisante à M.WRIGHT. En ce qui concerne la création d'un nouveau terrain, les dirigeants des « Ailes Bayonnaises » ont, en effet, dans le but éviter les heurts qui sont fréquents entre cette société et l’A.C.B. envisagé la question de l'aménagement d'un tel terrain entre Tarnos et Labenne, pour la section d'aviation populaire. Mais, malheureusement, cette éventualité n’est encore qu’à l’état d'un vague projet dont la réalisation paraît très aléatoire, et menace d'être longue.

M.et Madame Wright n'habitent leur propriété que pendant la belle saison et durant celle-ci, ils s'absentent souvent. Arrivés en juin, ils sont allés à Cannes, puis en Angleterre. Ils n'occupent, d’autre part, en dehors d'une dizaine de jardiniers qui sont à l'année, qu'une domesticité d’une douzaine de personnes, engagée pour la saison et comprenant des étrangers.

Ils fréquentent assidument les casinos de Biarritz et rentrent généralement assez tard dans la nuit. Désireux de se reposer ensuite toute la matinée, ils ne le peuvent, étant réveillés dès 6 heures par les évolutions des avions école.

Il faut néanmoins reconnaître que ces évolutions constituent pour eux un trouble assez sérieux.

Il y a lieu toutefois de considérer pour ce qui concerne le cas particulier de ses propriétaires, qu’ils n’ont acquis leur domaine qu’en 1930 alors que l'aérodrome a été ouvert en 1921, à la suite des enquêtes régulières de « commodo et incommodo » et de l'expropriation pour de nombreuses parcelles de terrain.

L'établissement de l'aérodrome a d'ailleurs été reconnu d'utilité publique par décret du 11 juillet 1921.

Ils auraient dû se douter, en se rendant acquéreurs de ce domaine des inconvénients qui pourraient résulter pour l'avenir, de la proximité de ce terrain, appelé à prendre une importance de plus en plus grande.

La menace de M.WRIGHT de quitter Biarritz ne vise  certainement que la présente saison d'été, car il ne pourrait abandonner une telle propriété, merveilleusement entretenue, puisqu'il y occupe dix jardiniers .D'autre part, il ne pourrait  en projeter la vente dans les temps actuels.

Il est évident que la solution, qu'il n'exige immédiate, ne peut être obtenue ; et son départ normal de Biarritz devrait avoir lieu comme d'habitude en octobre.

Peut-être suffirait-il, devant les difficultés de la situation de lui faire espérer que, pour l'an prochain le remède aura été trouvé dans l'aménagement d'un terrain école dans une autre région. Toutes diligences pourraient être faites alors par l'Administration pour que soit hâtée cette réalisation, qui est certainement désirée par les dirigeants des « Ailes Bayonnaises ».

Le service normal de l'aérodrome de Biarritz- Parme en serait d'ailleurs facilité ; les leçons de pilotage ne pouvant que gêner les atterrissages des appareils des lignes régulières ou de tourisme. Les dangers que présentent pour ceux-ci, les avions-écoles, seraient en outre écartés.

Ci-joint une vue prise en avion, montrant très nettement l’emplacement de la propriété de M.WRIGHT par rapport à l’aérodrome.

Le Commissaire Divisionnaire

 

Copie à :

Monsieur le Sous-Préfet à Bayonne.

 

Pau, le 30 décembre 1938

Le Préfet des Basses-Pyrénées

A Monsieur le Sous-Préfet de Bayonne

 

M. le ministre de l’Air me communique la lettre d'un copie est ci-jointe émanant de M.Réginald WRIGHT, dont la propriété (Château du lac de Brindos )  se trouve à proximité de l'aérodrome de Biarritz-Bayonne-Anglet.

Pour différents motifs, l’intéressé se plaint de ce voisinage .

L’Administration Centrale a fait procéder par les services locaux à une enquête pour apprécier l'importance de la gêne que l'intéressé déclare subir de ce fait.

Afin de connaître tous les aspect de la question, j'ai l'honneur de vous prier de vouloir bien préciser quel est l'intérêt que peut présenter, au point de vue social et économique la présence d'un « riche résident » comme M.WRIGHT dans la région de Biarritz.

Le Préfet

 

Commissariat spécial Hendaye

Hendaye le 9 janvier 1939

Le Commissaire Divisionnaire de Police Spéciale

A Monsieur le Sous-Préfet

A Bayonne

 

En réponse à votre demande de renseignements en date du 31 décembre écoulé sur le nommé WRIGHT, propriétaire du Château du Lac à Brindos, j'ai l'honneur de vous faire connaître qu'il est incontestable que la présence de ce « riche résident » présente un intérêt très marqué, au point de vue social et économique pour la ville de Biarritz.

M.WRIGHT, qui occupe son château une grande partie de l'année avec sa famille, emploie une nombreuse domesticité, dont 7 jardiniers pendant toute l'année.

Il dépense, chez divers fournisseurs de la ville, plusieurs centaines de mille francs par an, et donne, dans son château, de nombreuses fêtes dont le produit est destiné intégralement à des œuvres de bienfaisance sociale et sociétés sportives de Biarritz.

Actuellement, son départ définitif de son château produirait une fâcheuse impression, et il est à peu près certain que d'autres propriétaires des environs pourraient suivre son exemple.

Sa requête paraît fondée et rend difficile la solution à adopter ; car il ne peut être question, pour faire plaisir à Mr.WRIGHT, de supprimer ou de déplacer l'aérodrome actuel de Biarritz-Parme- Anglet.

Etant donné qu'il existe un projet de transfèrement de l'école de pilotage des « Ailes Bayonnaises », de Parme à Tarnos, je crois qu'il y aurait intérêt, pour retenir Mr. WRIGHT à Brindos, de lui faire connaître que les autorités administratives françaises s'occupent activement de la réalisation du projet de transfèrement en question.

P/O Le Commissaire Divisionnaire

 

Pau,le 16 janvier 1939

Le Préfet des Basses-Pyrénées

A Monsieur le Ministre de l’Air

Direction de l’Aéronautique Civile et de l’Aviation populaire

26,Boulevard Victor,Paris (XV)

Extrait

 

(…) la présence de M.WRIGHT offre un intérêt incontestable pour la ville de Biarritz en raison des dépenses très élevées qui ‘y effectue ce résident et aussi des libéralités qu’il distribue généreusement aux œuvres sociales.

Dans ces conditions, il y aurait intérêt, semble-t-il à ne pas répondre à M.WRIGHT par une fin de non-recevoir pure et simple, mais au contraire en lui faisant ressortir que les autorités administratives françaises s'efforcent, sinon de supprimer, du moins d'atténuer dans une très large mesure les inconvénients dont il se plaint.

Le Préfet

 

Le 24 février 1939

Le Commandant de l’Aérodrome de Biarritz-Bayonne-Anglet

A Monsieur le Préfet des Basses-Pyrénées à Pau

(Commissariat Spécial)

 

Monsieur le Préfet,

À la suite des plaintes de Mr.Réginald WRIGHT ,habitant le Château de Brindos à Anglet, provoquées par les inconvénients résultants de son voisinage avec l'aérodrome de Biarritz-Anglet,j'ai reçu copie de la réponse qui lui a été adressée par Mr. le Directeur de l'Aéronautique Civile .Il y est fait mention  d'un projet de transfert à Tarnos de l'école de pilotage des « Ailes Bayonnaise ».

 Cette solution aurait été préconisée par vos services et comme celle-ci serait susceptible d'apporter une heureuse solution aux plaintes de Mr.WRIGHT ,je vous serais très obligé ,n'étant pas au courant de ce  transfert de bien vouloir me faire part des suggestions qui ont été faites par vos services à ce sujet.

Avec mes remerciements anticipés, je vous prie d'agréer, Monsieur le Préfet, l'expression de mes sentiments très respectueux .

Le Commandant de l' Aérodrome

 

Source:

Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Salle de lecture du site de Pau
Police 4 M Article 161

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Balsan contre Jacob à propos de la propriété de Brindos à Anglet 

Le domaine de Brindos (Anglet) et la villa Belza (Biarritz)